lundi 3 décembre 2018

Ce qui nous manque n’est pas toujours nécessaire

À LA LUMIÈRE DE LA BIBLE

Nous aimons réciter le psaume 23. Plusieurs raisons sont à la base de ce sentiment qui semble nous protéger en répétant les paroles du roi David. D’abord, c’est un poème rempli de promesses faites par un Dieu fidèle à sa parole. Ensuite, nous savons qu’en dépit des péchés que David a
commis, Dieu a tenu ses promesses envers lui. Et finalement, le psaume 23 est très populaire, donc facile à mémoriser. Mais, connaissons-nous vraiment le sens des mots qui le composent, surtout le verbe ‘ manquer?

« Manquer » vient du latin mancare qui signifie « faire défaut ». Il vient aussi du lombard (langue des habitants de Lombard, Italie) « mangian » et de l’ancien haut allemand « mengen » qui signifie « être privé de, ne pas réussir, rater ». Donc, à celui qui ne manque de rien, rien ne lui fait défaut puisqu’il a tout. Cela signifie-t-il que le chrétien a tout ce qu’il a besoin ? On
pourrait répondre à cette question de deux manières. D’abord, cela peut être une façon de renoncer à tout ce qui pourrait lui être utile, comme avoir assez d’argent pour s’acheter tout.

Ensuite, il a tout ce qui est nécessaire même si d’autres personnes penseraient le contraire. Ainsi, face à la tentation, un chrétien peut croire qu’il est dans le besoin alors qu’il n’a besoin de rien. Très souvent, c’est le manque de foi qui rend nos besoins pressants. Nous supposons que les choses vont mal, que Dieu nous abandonne alors que c’est sa volonté.

Imaginons une chrétienne qui n’est pas encore mariée parce que l’homme déclaré est un mondain. Elle aurait pu habiter une belle maison et jouir de beaucoup de privilèges dans la vie. Malheureusement, par son refus, elle a tout perdu. Cette perte, pour la foi chrétienne dans la providence divine, ne doit pas être une vraie perte mais la preuve que rien ne peut empêcher l’enfant de Dieu de survivre.

Remarquons aussi que le verbe « manquer » est conjugué au futur simple, ce qui doit nous faire comprendre que Dieu pourvoira à tous nos besoins au moment opportun, d’où la notion de la foi.

Si nous nous inquiétons ou même abandonnons la foi à cause de l’avenir, c’est que nous avons perdu le sens de cette déclaration : je ne manquerai de rien.
Il est donc important de comprendre le sens des mots dans les versets que nous connaissons par cœur de peur que nous ne soyons pas confus et démotivés dans la marche chrétienne.

Nous devons avoir la confiance que nous avons tout ce qu’il nous faut. Jésus, dans ses paroles sur les inquiétudes, a dit : « Ne vous inquiétez donc pas du lendemain ; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine » (Matthieu 6.34). Il ne suffit pas de citer un verset traditionnellement. Comme Jésus, lors de sa tentation, nous devons avoir l’assurance que les paroles prononcées sont pratiques dans notre vie.

Ne continuons pas à dire que nous ne manquerons de rien si nous ne sommes pas certains que nous avons déjà tout et que rien, comme dit l’apôtre, ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus Christ notre Seigneur (Romains 8.33-39).

Jérôme Dorsonne Emerson
Ecrivain / Conférencier

samedi 1 décembre 2018

Notre conscience ne reconnait pas tous les péchés


La conscience est une conviction intime de ce qui est moralement et humainement bien ou mal. C’est la présence à l’esprit d’une idée, d’une notion ou d’une réalité sensible. Il est donc prudent de croire que nous pouvons faire tout ce qui nous parait bon car la moralité n’est pas l’évangile.

La moralité est la mode vie, l’attitude et les valeurs morales d’une personne. Une fois que nous obéissons tous à une règle de conduite acceptable dans la société, elle devient morale. Pourtant, l’évangile nous invite à ne pas prendre part aux œuvres infructueuses des ténèbres (Ephésiens
5.11).

En outre, la repentance est bien le fait de regretter la vie que nous avons eue dans les ténèbres. Comment pouvons-nous donc être sûrs que nous ne violons pas les règles du Seigneur ? Notre conscience, formée à partir de nos mœurs, peut-elle nous dicter la volonté de Dieu ? Pas toujours !
En effet, qu’est-ce que le péché ? La Bible nous dit que c’est la transgression de la loi (1 Jean 3.4). Or, la transgression est la violation volontaire d’une obligation morale ou sociale.

L’apôtre Paul a écrit ceci : « Il est donc nécessaire d'être soumis, non seulement par crainte de la punition, mais encore par motif de conscience » (Romains 13.5). Il s’agit ici des principes nous obligeant à nous soumettre aux autorités supérieures (Romains 13.1) et non aux préceptes de l’évangile qui doivent être enseignés (Matthieu 28.20). Face à des menaces interdisant la prédication de l'Evangile, Jean et Pierre ont du refuser d'obéir aux autorités plutôt qu'à Dieu (Actes 4.19-20).

L’enseignement fait référence à des leçons d’une discipline, donc il faut des élèves. Connaissant l’importance de l’endoctrinement évangélique, on ne peut prétendre que la conscience humaine puisse reconnaitre tous les péchés puisqu’il y a des péchés volontaires et involontaires. L'apôtre Paul parle de la conscience faible et souillée (1 Corinthiens 8.7).

Il y a tellement de choses désagréables dans le monde que seul le Saint-Esprit peut nous aider à connaître la volonté de Dieu. Parfois, quand notre conscience est en paix, Dieu est dans sa grande colère. Nous disons que c’est la volonté de Dieu alors que sa parole le défend.

Le conseil d’or est d’examiner ce qui lui est agréable (Ephésiens 5.10) et non ce que notre conscience nous dit de faire, car elle reconnait pas tous les péchés.

Continuons à serair le Seigneur !

Jérôme Dorsonne Emerson
Ecrivain / Conférencier

vendredi 30 novembre 2018

Notre désir doit être soumis à la volonté de Dieu

A LA LUMIÈRE DE LA BIBLE

Il est parfois difficile de savoir si ce que nous désirons soit la volonté de Dieu, surtout lorsque nous ne réfléchissons pas avant d’agir. Dans la Bible, nous lisons plusieurs histoires qui nous présentent les décisions que des serviteurs de Dieu ont prises à l’encontre de la volonté de Dieu.
A cause de l’autorité ou d’un privilège, ils ont cru que leurs décisions reflétaient la volonté de leur maitre. Pourtant, ce n’était pas toujours le cas. Que devons-nous faire alors ? La Bible répond. « Examinons ce qui est agréable au Seigneur » (Ephésiens 5.10).

Tiré du latin « examinare », examiner c’est le fait d’observer avec attention, avec réflexion. Pour qu’il y ait de l’attention, il faut une concentration de l’esprit. C’est pour cela qu’il faut éviter l’émotion qui est un sentiment naturel chez l’être humain. Elle ne nous laisse le temps de réfléchir ni de mesurer l’ampleur de nos actes. Nous exécutons tout ce qui vient à notre esprit
sans penser à ses conséquences ou son impact sur les gens qui nous entourent.

Ce qui est agréable à Dieu est ce qui est plaisant et conforme à ce qu’il désire et non à ce nous désirons. C’est pourquoi la Bible dit : « Fais de l’Eternel tes délices, et il te donnera ce que ton cœur désire » (Psaumes 37.4). Si Dieu est glorifié dans notre vie, nos désirs ne lui seront pas désagréables, car c’est lui qui « produit en [nous] le vouloir et le faire, selon son bon plaisir » (Philippiens 2.13).

En réalité, c’est Dieu qui nous permet de lui plaire et non nous-mêmes. Toutefois, nous devons laisser son Saint-Esprit nous diriger (Galates 5.16). Il ne nous forcera pas à faire ce qui doit être le fruit du Saint-Esprit. Cependant, si c’est ce Saint-Esprit qui nous dirige vraiment, tout ce que nous faisons lui sera agréable.

Nous ne devons pas faire tout ce que nous désirons. D’ailleurs, le travail du tentateur est de susciter le désir chez-nous afin que nous agissions contre la volonté de Dieu. Ne faisons donc pas confiance à nos désirs ! Nous devons les soumettre à la volonté de Dieu. Peu importe le temps que ça prendra, Dieu veut que tout ce que nos pensées, nos paroles et nos actions lui soient agréables.

Jérôme Dorsonne Emerson
Ecrivain / Conférencier

Une vapeur, la triste comparaison de notre vie

A LA LUMIÈRE DE LA BIBLE

Quand l’eau bouille, des fines gouttelettes y sortent et restent suspendues. C’est ce qu’on appelle « vapeur ». En chimie, la vapeur est un composé à l’état gazeux issu de la distillation d’un solide ou de sa vaporisation. Il est vrai que nous sommes composés de la chair et de l’os, la parole de Dieu nous compare à de la vapeur. Est-ce une dévalorisation ? Non. Au contraire, le roi David a dit : « Je te loue de ce que je suis
une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, et mon âme le reconnaît bien » (Psaumes 139.14).

N’oublions pas qu’après avoir créé l’homme, Dieu souffla dans ses narines un
souffle de vie (Genèse 2.7). Malgré sa chute dans le jardin, il a envoyé son Unique Fils dans la chair pour le sauver (Luc 19.10). Cela nous démontre qu’il ne nous regarde pas seulement en tant que de la poussière mais en tant que créatures merveilleuses.
Cependant, cette merveilleuse créatures que vous êtes n’est pas charnelle. Jésus, dialoguant avec
Nicodème, a dit : « Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’Esprit est Esprit »(Jean 3.6).

L’apôtre Paul dira ceci : « Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions » (Ephésiens 2.10). Par le baptême du Saint-Esprit, vous êtes devenu une nouvelle créature (2 Corinthiens 5.17).
A cause de la nouvelle vie en Jésus Christ, nos corps étant corruptibles et mortels revêtiront l’incorruptibilité et l’immortalité pour que nous portions finalement l’image céleste (1 Corinthiens 15.47-54).

Par rapport à la mortalité, Jacques nous compare à une vapeur : « Vous qui ne savez pas ce qui arrivera demain! car, qu'est-ce votre vie? Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît » (Jacques 4.14). La vapeur caractérise la fragilité de notre existence face à l’imprévisibilité de la mort. En effet, tout ce qui nous entoure peut nous tuer, même ce qui est indispensable à notre survie, l’eau par exemple. Nous en avons besoin pour vivre mais trop nous tue. Il suffit de boucher vos narines et votre bouche pendant un instant pour que le manque d’oxygène nous tue.

Face à cette réalité, le serviteur Jacques nous exhorte à ne pas faire des projets pour demain sans envisager la volonté de Dieu, car il peut décider que nous soyons disparus avant même que nos projets se réalisent. Disons donc merci à Dieu de nous avoir permis de voir aujourd’hui et demandons-lui de nous laisser vivre demain s’il le veut.

Jérôme Dorsonne Emerson
Ecrivain / Conférencier

dimanche 25 novembre 2018

Gen anpil moun ki konte sou ou

KONSÈY POU EVITE TONBE NAN TANTASYON

17. Gen anpil moun ki konte sou ou

Pafwa, ou konn panse tantasyon an konsène w sèlman. Si w tonbe se ou sèlman k ap sibi  konsekans la. Poutan : « Ou koute pawòl madanm ou, pa vre ! Ou manje fwi pye bwa mwen te ba ou lòd pa manje a. Poutèt sa ou fè a, m ap madichonnen tè a. W a gen pou w travay di tout tan pou w fè tè a ba ou sa ou bezwen pou viv » (Jenèz 3.17).

Yon sèl fanm peche, li lakoz tout fanm e tout gason, depi plis pase de mil lane, ap soufri. Se sa Bib la di : « Se poutèt yon sèl moun peche antre sou latè. Peche a louvri pòt pou lanmò. Se konsa lanmò vin pou tout moun, paske tout moun fè peche » (Women 5.12).

Pakont, Jezi sèlman te obeyi, li pèmèt tout pechè sa yo ka gen relasyon Adan ak Èv te pèdi nan jaden Edenn lan. David te aji pou kont li, men li lakoz anpil madichon tonbe sou lavi l e sou wayòm nan. Farawon tap reziste devan Bondye, li te lakoz plizyè timoun ejipsyen mouri, tandike Jozèf te pèmèt tout fanmi l te vin abite an Ejip akoz li te reziste devan tantasyon madan Potifa. Amnon pat dakò maryaj pou l te kouche ak Tama, li lakoz li mouri tandike Mari te jwenn gras nan je Bondye pou l te pote Sovè a paske l te kenbe wòb li pwòp.

Sa w wè ? Gen anpil moun ki ka soufri lè w tonbe nan tantasyon. Anpil lòt ka rejwi si w reziste. Si w fè yon ti panse ak anpil timoun ki pa ka ale lèkol, manje, jwenn lasante e kote pou dòmi paske yo te fèt nan move kondisyo, w ap reyalize se pou byen ou Bondye pa vle n tonbe nan peche.

Chak fwa w devan yon tantasyon, panse ak moun ki ka sibi si w tonbe. Moun sa yo konte sou ou menm jan ak tout fanmi Jozèf yo ki te jwenn delivrans gras ak lavi dwat li tap mennen devan Bondye.

Eske w pa gen rezon pou w reziste?

Jerome Dorsonne Emerson Jde

Pa wont pote non moun k ap reziste yo

KONSÈY POU EVITE TONBE NAN TANTASYON

15. Pa wont pote non moun k ap reziste yo

Apot Pyè te ekri kretyen Ti Lazi yo pou di yo : « Si yo joure nou paske n ap swiv Kris la, konsidere sa tankou yon benediksyon. Paske, Lespri ki gen gwo pouvwa a nan nou ». (1 Pyè 4.14) Mo fransè ki tradwi « joure » a se « outragé » ki vle di « imilye anpil, ofanse ».

Imilye yon moun se blese santiman ki fè l santi l fyè, li gen valè. Chak fwa yon moun rive blese santiman sa, ou anvi reyaji mal, fè vyolans, joure e menm pase lèbòn. Se pou santiman sa ki fè anpil moun pa ka kretyen tou, paske yo pa dakò pèsonn pase sa yo ye anba pye. Sitou lè w konnen ou gen konesans, relasyon e lajan, li pap fasil pou w aksepte sa tout moun fè w.

Ebyen, se sa yo Jezi te kite ki fè l te ka vin sove mwen menm avèk ou. Li te aksepte tout imilyasyon, tout vye non e tout vye sikonstans ki te ka fè l dezobyi Bondye, Papa li. Men li te konsidere tout bagay sa yo tankou se te benediksyon. Se menm bagay la ou dwe fè tou lè w ta nan plas pou yo ba w pote tout non jis paske w ap reziste anba tantasyon.

Yo ka rele w « lach, egare, ti Jezi, manman Mari, tèt mare, gwo nanm, elatriye ». Pa fè erè panse moun w ap viv diferan de yo tap konprann diferans ou a. Alò, si w vle evite tonbe nan tantasyon tout bon, pa mete nan tèt ou tout moun ap wè w nòmal.

Reziste.

vendredi 23 novembre 2018

Se nan moman difisil yo, tantasyon yo vin pi plis

KONSÈY POU EVITE TONBE NAN TANTASYON

14. Se nan moman difisil yo, tantasyon yo vin pi plis

Se lè w plis nan bezwen, ou tante. E se nan moman sa yo w ap konnen si w gen kapasite reziste tout bon vre. Toutfwa, toujou sonje se pa ou menm k ap bay tèt ou fòs la, li soti nan Kris la : « Nenpòt sitiyasyon ki parèt devan mwen, m ap degaje m, granmesi Kris la ki ban mwen fòs kouray » (Filipyen 2.13).

Pa konte sou fòs ou lè w anfas tantasyon an. Pa di tèt ou w ap soti pandan w ap fonse. Li pi saj pou w evite ale pi lwen si w santi w nan move chemen an. Se nan moman difisil yo w ap jwenn plis rezon pou w peche paske w nan nesesite, bezwen yo presan e solisyon an tou prè w la. Ou jis bezwen di “wi”, leve pye w, lonje men w, antre, soti pou toutbagay fèt.

Pandan w ap tonbe nan peche a, ou pèdi fòs, ou pèdi lespwa, ou pèdi lonè, ou pèdi lafwa e finalman ou pèdi prezans Bondye. Poutan, se nan moman w santi w pa ka reziste yo pou
w reziste. Pou sa fèt, tankou Jozèf, ou ka kouri. Pito yo ba w tout non pote pou evite pase pou
eksè.

Yon lòt fason ou ka evite tonbe nan tantasyon nan moman difisil yo se evite ekspoze pwoblèm ou, rakonte sa w bezwen, di sa w vle fè. Sa yo ka fè moun bezwen ede w, e se la yo
pral ofri w opòtinite ki ka detounen w nan vrè chemen w ap swiv la.

Toujou sonje lavi a pa fasil, e levanjil pa rann li pi fasil jan anpil moun panse l la. Moman difisil w ap travèse yo se prèv w ap viv dwat. Se pa toujou konsekans peche, pa w oswa pa paran w, ki fè w ap soufri, se paske w pa aksepte viv menm jan lè w te nan lemond. Fason w te konn chache lavi a chanje, levanjil vin enfliyanse tout vi w, ou vin gen yon lòt atitid.

Eske w konn medite deklarasyon sa yo ?: « Tout moun ki vle viv nan sèvis Bondye ansanm ak Jezikri gen pou soufri pèsekisyon » (2 Timote
3.12).

Jezi te di : « Benediksyon pou moun ki anba pèsekisyon lè y ap fè sa Bondye mande, paske peyi Wa ki nan syèl la, se pou yo li ye. » (Matye 5.10).

Apot Pyè te di : « …fè kè n kontan. Paske, menm jan nou patisipe nan soufrans Kris yo, konsa tou n a kontan nèt ale lè gwo pouvwa
Kris la va parèt. » (1 Pyè 4.13)

Apot Pòl te di : « Pou mwen, nou pa ka konpare sa n ap soufri kounye a ak bèl bagay Bondye pral fè nou we yo. » (Women 8.18)

Repase pawòl sa yo chak fwa moman difisil yo vle fè w tonbe nan tantasyon.

Reziste!

Li lòt konsèy sou menm sijè sa e lòt atik sou blog JDE a nan www.lestextesdejde.blogspot.com

On n’est jamais trop jeune pour servir Dieu

  1 Samuel 2.22-26 22  Or Héli était fort vieux, et il apprit tout ce que faisaient ses fils à tout Israël, et qu’ils couchaient avec les ...