Meditasyon pou jodi a, No 174
Madi 19 avril 2016
Devwa yon vrè disip Jezikri
Yon kretyen se yon disip Jezikri, men yon disip Jezikri pa yon kretyen pou sa. Se Jezi menm ki te bay prensip la lè li te di jwif ki te kwè nan li yo: “ Si nou kenbe pawòl mwen yo nan kè nou, nou se disip mwen vre” (Jan 8.31). Vrè disip Jezikri a kenbe pawòl li.
Wiliam MacDonald fè kòmantè sa a : “ Nan yon sans, kennenpòt moun ki vle aprann se yon disip, men se sèlman sila ki konsakre pou Senyè a, Jezikri, ki ka pretann li se yon vrè disip”. Men twa mwayen pratik pou w konnen si w se yon disip Jezi tout bon vre.
1. Adorasyon (disip la ap sèvi Bondye)
Adorasyon se pa chante kantik nan kilt yo. Sa pa tap gen sans pou adorasyon Bondye ta limite ak chante kantik. Jezi te di : « Bondye, se Lespri li ye. Tout moun k’ap sèvi l, se pou yo sèvi l nan lespri yo jan sa dwe fèt la. » (Jan 4.24) Adore Bondye se pa chante, men chante se youn nan fason ou ka adore Bondye. Si se pa t sa, sèl moun ki konn chante tap ka adore Bondye. Bondye tout kote, adore li se sèvi li tout kote, se pa sèlman nan kilt yo chak dimanch.
2. Edifikasyon (disip la ap sèvi frè ak sè kretyen li yo)
Don espirityèl yo la pou edifye kwayan yo (Efezyen 4.11-12). Tout vrè disip Jezi yo te resevwa yo chak yon don (1 Korent 7.12). Poutèt sa, yo tout dwe mete don yo resevwa yo osèvis nan legliz la (1 Pyè 4.10). Yon vrè disip Jezi pa vin legliz pou kwaze bra li, patisipe nan kilt la epi retounen lakay pou tann lòt jou a ankò. Marcelo Tunasi t’ap di se yon obsèvatè, se pa yon aktè,
3. Evanjelizasyon (disip la sèvi moun ki pa kwè yo nan lemond)
Yon vrè disip Jezikri se yon moun k’ap chache nanm pou li. Jezi te di : « Moun ki pa avèk mwen, se kont mwen yo ye. Moun ki p’ap ede m ranmase, se gaye y’ap gaye » (Matye 12.30). Lè w se kretyen, ou avèk Kris, ou nan Kris e ou pou Kris. Si ou pa evanjelize, ou pa avèk li vre.
Koulye a, ou ka konnen si ou se yon vrè oubyen yon fo disip Jezikri, paske se pa nan pale ou wè vrè disip la, se nan aksyon.
Pase yon bon jounen!
Jérôme Dorsonne Emerson
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mardi 19 avril 2016
Les devoirs d’un vrai disciple de Jésus-Christ
Méditation du jour, No 174
Mardi 19 avril 2016
Les devoirs d’un vrai disciple de Jésus-Christ
Un chrétien est un disciple de Jésus-Christ, mais un disciple de Jésus-Christ n’est pas forcément un chrétien. Le principe vient de Jésus quand il a dit aux juifs qui avaient cru en lui : « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples » (Jean 8.31) Le vrai disciple de Jésus-Christ demeure dans sa parole.
William MacDonald a fait ce commentaire : « Dans un sens, quiconque se dit désireux d’apprendre est un disciple, mais seul celui qui s’est réellement consacré au Seigneur Jésus-Christ peut prétendre être un vrai disciple ». Voici, en conséquence, trois moyens pratiques pour savoir si vous êtes vraiment un disciple de Jésus.
1. L’adoration (le disciple sert Dieu)
Il ne s’agit pas des cantiques qu’on chante dans le culte. Ce serait absurde de limiter l’adoration de Dieu à des cantiques. Jésus a dit : « Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l'adorent l'adorent en esprit et en vérité. » (Jean 4.24) Adorer Dieu n’est pas chanter, mais chanter est une façon de l'adorer. Si ce n’était pas ainsi, seuls ceux qui savent chanter pourraient adorer Dieu. Dieu est partout, l’adorer c’est le servir partout, pas seulement dans le culte dominical.
2. L’édification (le disciple sert ses frères et sœurs chrétiens)
Les dons spirituels sont là pour édifier les croyants (Ephésiens 4.11-12). Tous les vrais disciples de Jésus ont reçu chacun un don (1 Corinthiens 7.12). Par conséquent, ils doivent tous mettre au service de l’église le don reçu (1 Pierre 4.10). Un vrai disciple de Jésus ne vient pas à l’église pour se croiser les bras, participer au culte et retourner à la maison en attendant le jour prochain. C’est un observateur et non un acteur, dirait Marcelo Tunasi.
3. L’évangélisation (le disciple sert les incrédules dans le monde)
Un vrai disciple de Jésus-Christ est un gagneur d’âmes. Jésus a dit : « Celui qui n'est pas avec moi est contre moi, et celui qui n'assemble pas avec moi disperse. » (Matthieu 12.30) Etre chrétien, c’est être avec Christ, en Christ et pour Christ. Si vous n’évangélisez pas, vous n’êtes pas vraiment avec lui.
Maintenant, vous pouvez savoir si vous êtes un vrai ou un faux disciple de Jésus-Christ, car le vrai disciple se caractérise par l’action, et non par la parole.
Bonne journée!
Jérôme Dorsonne Emerson
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Mardi 19 avril 2016
Les devoirs d’un vrai disciple de Jésus-Christ
Un chrétien est un disciple de Jésus-Christ, mais un disciple de Jésus-Christ n’est pas forcément un chrétien. Le principe vient de Jésus quand il a dit aux juifs qui avaient cru en lui : « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples » (Jean 8.31) Le vrai disciple de Jésus-Christ demeure dans sa parole.
William MacDonald a fait ce commentaire : « Dans un sens, quiconque se dit désireux d’apprendre est un disciple, mais seul celui qui s’est réellement consacré au Seigneur Jésus-Christ peut prétendre être un vrai disciple ». Voici, en conséquence, trois moyens pratiques pour savoir si vous êtes vraiment un disciple de Jésus.
1. L’adoration (le disciple sert Dieu)
Il ne s’agit pas des cantiques qu’on chante dans le culte. Ce serait absurde de limiter l’adoration de Dieu à des cantiques. Jésus a dit : « Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l'adorent l'adorent en esprit et en vérité. » (Jean 4.24) Adorer Dieu n’est pas chanter, mais chanter est une façon de l'adorer. Si ce n’était pas ainsi, seuls ceux qui savent chanter pourraient adorer Dieu. Dieu est partout, l’adorer c’est le servir partout, pas seulement dans le culte dominical.
2. L’édification (le disciple sert ses frères et sœurs chrétiens)
Les dons spirituels sont là pour édifier les croyants (Ephésiens 4.11-12). Tous les vrais disciples de Jésus ont reçu chacun un don (1 Corinthiens 7.12). Par conséquent, ils doivent tous mettre au service de l’église le don reçu (1 Pierre 4.10). Un vrai disciple de Jésus ne vient pas à l’église pour se croiser les bras, participer au culte et retourner à la maison en attendant le jour prochain. C’est un observateur et non un acteur, dirait Marcelo Tunasi.
3. L’évangélisation (le disciple sert les incrédules dans le monde)
Un vrai disciple de Jésus-Christ est un gagneur d’âmes. Jésus a dit : « Celui qui n'est pas avec moi est contre moi, et celui qui n'assemble pas avec moi disperse. » (Matthieu 12.30) Etre chrétien, c’est être avec Christ, en Christ et pour Christ. Si vous n’évangélisez pas, vous n’êtes pas vraiment avec lui.
Maintenant, vous pouvez savoir si vous êtes un vrai ou un faux disciple de Jésus-Christ, car le vrai disciple se caractérise par l’action, et non par la parole.
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Jérôme Dorsonne Emerson
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Qu'est-ce que vous observez en tant que chrétien?
Méditation du jour, No 173
Lundi 18 avril 2016
Qu'est-ce que vous observez en tant que chrétien?
Etre chrétien de nos jours, pour beaucoup de personnes, se résume en l'observation de certaines règles d'une église ou d'un groupe religieux. Il suffit d'être fidèle à ces règles pour mériter la grâce de Dieu et devenir un ouvrier de l'église.
Pour devenir un pasteur, vous n'avez plus besoin du Saint-Esprit(Ephésiens 4.11) puisque désormais, étudier la théologie à l'université est la nouvelle règle. Si les premiers apôtres étaient encore vivants, ils auraient beaucoup à dire de cette génération qui a violé la Sainte parole de Dieu. (Actes 2.42)
La semaine a sept jours et 168 heures, mais certains ont choisi un seul jour pour venir écouter la parole, adorer Dieu, donner des offrandes et prier. C'est l'occasion de s'habiller de ses plus beaux vêtements et de se montrer sage, humble, souriant, obéissant et saint. Si le culte dure plus de trois heures, certains adorateurs commencent déjà à s'impatienter.
L'apôtre Paul a écrit:"Vous observez les jours, les mois, les temps et les années! Je crains d'avoir inutilement travaillé pour vous." (Galates 4.10-11)
Jésus a passé environ trois ans avec ses disciples dans son ministère terrestre. Durant cette période, il les a formés par la parole et par les actes. Avant de monter vers son Père, il leur a dit:"Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde."(Matthieu 28.19-20)
Qu'est-ce que vous observez cher lecteur, chère lectrice, vous qui êtes chrétien, chrétienne? Les prescriptions de Jésus-Christ ou celles des hommes?
C'est facile de le savoir.
Les prescriptions de Jésus-Christ font du chrétien un esclave de Jésus-Christ ; il obéit à ses ordres même s'il doit subir les conséquences par les sanctions, les menaces, les persécutions et la mort (Actes 4.19-20).
Contrairement, les prescriptions de l'homme font du croyant, et non du chrétien, un esclave des traditions humaines; il desobéit aux commandements de Jésus-Christ afin de jouir des privilèges temporaires (Matthieu 15.8-9)
Vous êtes libre de faire votre choix.
Bonne journée!
Jérôme Dorsonne Emerson
Lundi 18 avril 2016
Qu'est-ce que vous observez en tant que chrétien?
Etre chrétien de nos jours, pour beaucoup de personnes, se résume en l'observation de certaines règles d'une église ou d'un groupe religieux. Il suffit d'être fidèle à ces règles pour mériter la grâce de Dieu et devenir un ouvrier de l'église.
Pour devenir un pasteur, vous n'avez plus besoin du Saint-Esprit(Ephésiens 4.11) puisque désormais, étudier la théologie à l'université est la nouvelle règle. Si les premiers apôtres étaient encore vivants, ils auraient beaucoup à dire de cette génération qui a violé la Sainte parole de Dieu. (Actes 2.42)
La semaine a sept jours et 168 heures, mais certains ont choisi un seul jour pour venir écouter la parole, adorer Dieu, donner des offrandes et prier. C'est l'occasion de s'habiller de ses plus beaux vêtements et de se montrer sage, humble, souriant, obéissant et saint. Si le culte dure plus de trois heures, certains adorateurs commencent déjà à s'impatienter.
L'apôtre Paul a écrit:"Vous observez les jours, les mois, les temps et les années! Je crains d'avoir inutilement travaillé pour vous." (Galates 4.10-11)
Jésus a passé environ trois ans avec ses disciples dans son ministère terrestre. Durant cette période, il les a formés par la parole et par les actes. Avant de monter vers son Père, il leur a dit:"Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde."(Matthieu 28.19-20)
Qu'est-ce que vous observez cher lecteur, chère lectrice, vous qui êtes chrétien, chrétienne? Les prescriptions de Jésus-Christ ou celles des hommes?
C'est facile de le savoir.
Les prescriptions de Jésus-Christ font du chrétien un esclave de Jésus-Christ ; il obéit à ses ordres même s'il doit subir les conséquences par les sanctions, les menaces, les persécutions et la mort (Actes 4.19-20).
Contrairement, les prescriptions de l'homme font du croyant, et non du chrétien, un esclave des traditions humaines; il desobéit aux commandements de Jésus-Christ afin de jouir des privilèges temporaires (Matthieu 15.8-9)
Vous êtes libre de faire votre choix.
Bonne journée!
Jérôme Dorsonne Emerson
Poukisa Pòl pa bay fanm yo dwa pou yo anseye ?
Meditasyon pou jodi a, No 172
Dimanch 17 avril 2016
Poukisa Pòl pa bay fanm yo dwa pou yo anseye ?
Lis sijè ki kreye konfli yo anpil, men annsite sèlman sis: dim, sove sove nèt, sent sèn nan yon koup oubyen nan plizyè tivè, asèmantasyon pastè yo devan otorite leta, remaryaj ak entèdiksyon pou fanm yo montre kichòy. Jodi a, san m pa vle relanse yon deba sou fanm yo nan ministè, mwen ta renmen reponn dirèkteman ak kesyon sa a ki deranje moun e ki lakoz gwo diskisyon.
Poukisa Pòl pa bay dwa pou fanm yo montre moun anyen?
Verite a blese, e li blese menm moun k’ap preche l la. Se nòmal pwiske lòm pa Bondye, li pa san peche. Epi ankò, li pa konn tout bagay. Sepandan, li dwe di ak fè sa li konnen. Sou koze sa a, nou li sa a nan Bib la : « Gen bagay nou pa konnen, se bagay Bondye kenbe an kè l pou li menm. Men, bagay li fè nou konnen yo, se bagay nou menm ak pitit nou yo pa dwe janm bliye pou nou ka fè tou sa li mande nou fè nan lalwa a. » (Detewonòm 29.29). Se pa paske nou pa konnen tout bagay ki fè nou dwe kache revelasyon Bondye yo, nou dwe montre yo epi pratike yo. Men kat rezon ki fè apot Pòl te entèdi fanm yo nan ministè lapawòl. Tout rezon sa yo ekri nan Bib la nan 1 Korent 14.33-34 ; 1 Timote 2.11-14. Fòk nou wè tou ke Pòl pa di ke se konsèy li, menm jan li te di sa nan 1 Korent 7.12 la.
1. Se yon prensip inivèsèl
Gen moun k’ap kòmante ki di ke entèdiksyon sa a te bay pou legliz Korent la menm. Se pa vre. Dabò, men sa ki ekri : « Tankou sa fèt nan tout legliz pèp Bondye a », se pa nan youn oubyen nan legliz ki te Korent yo. Epi, mo grèk « laleo » ki tradwi « pale » a nan lang kreyòl la pat janm gen sans « pale anpil ». Se menm mo sa a ki itilize nan Ebre 1.1 nan vèsyon grèk la (William MacDonald)
2. Se sa lalwa Bondye a vle
Entèdiksyon pou fanm nan ministè lapawòl te egziste avan legliz la te fonde : « Jan nou jwenn sa ekri nan lalwa Bondye a : se pou yo soumèt yo » (1 Korent 14.34). Nou ka pran referans sa yo Jenès 3.16 ; Efezyen 5.22 ; Kolosyen 3.18 ; Tit 2.11-12.
3. Se Adan Bondye te kreye avan
Pou jistifye entèdiksyon li an, Pòl retounen nan lakreyasyon. Se pa paske Bondye jije gason an siperyè pase fanm nan ki fè l di gason an se chèf fanm nan, men se paske se li Bondye te kreye avan. Eske se pa prensip sa a ki detèmine premye timoun nan fanmi an, kit li se gason oubyen fi? Eske premye pitit la siperyè ak dezyèm nan ? Non. Si se fi a ki fèt anvan, èske se pa li k’ap pi gran nan fanmi an ? Wi. Men sa ki rezoud pwoblèm fanm pa dwe pran otorite sou gason an.
4. Se fanm nan ke Satan te twonpe anvan
Nan montre moun kichòy nan asanble a, fanm nan vin mètrès tout manb ki fè pati asanble a. Pòl retounen nan pozisyon fanm nan nan jaden Edenn lan lè koulèv la ta’p pale ak li a. Sediksyon an te lakoz mari li sedwi tou. Daprè kontèks la, Adan pat konnen lè konvèsasyon an tap fèt la. « Li pote bay mari li » montre ke mari li pat kote l la.
Malgre tout rezon sa yo ki bay (sa ki nimewote yo), se pa mwen, men se apot Pòl, anpil lòt kesyon ap poze e anpil sèvant Bondye pa dakò avèk entèdiksyon sa. Eske se pa yon konfizyon pwiske gason yo ak fanm yo, yo tout te resevwa Sentespri a e yo fè yon sèl nan Kris ? (Galat 3.28). Eske Bib la pa kontradiktwa? Eske Bondye fè enjistis ak fanm yo ? Devan tout kesyon sa yo, nou pa dwe ap goumen ant nou menm paske nou youn pa responsab de entèdiksyon sa a.
M’ap fini pou m di ke nou dwe medite sou deklarasyon sa a ke menm apot la fè : « Se poutèt sa, moun ki pa asepte pawòl sa a, se pa pawòl lèzòm li pa koute, se pawòl Bondye ki ban nou Sentespri l la menm li pa koute » (1 Tesalonisyen 4.8).
Se pou w byen medite
Jérôme Dorsonne Emerson
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Dimanch 17 avril 2016
Poukisa Pòl pa bay fanm yo dwa pou yo anseye ?
Lis sijè ki kreye konfli yo anpil, men annsite sèlman sis: dim, sove sove nèt, sent sèn nan yon koup oubyen nan plizyè tivè, asèmantasyon pastè yo devan otorite leta, remaryaj ak entèdiksyon pou fanm yo montre kichòy. Jodi a, san m pa vle relanse yon deba sou fanm yo nan ministè, mwen ta renmen reponn dirèkteman ak kesyon sa a ki deranje moun e ki lakoz gwo diskisyon.
Poukisa Pòl pa bay dwa pou fanm yo montre moun anyen?
Verite a blese, e li blese menm moun k’ap preche l la. Se nòmal pwiske lòm pa Bondye, li pa san peche. Epi ankò, li pa konn tout bagay. Sepandan, li dwe di ak fè sa li konnen. Sou koze sa a, nou li sa a nan Bib la : « Gen bagay nou pa konnen, se bagay Bondye kenbe an kè l pou li menm. Men, bagay li fè nou konnen yo, se bagay nou menm ak pitit nou yo pa dwe janm bliye pou nou ka fè tou sa li mande nou fè nan lalwa a. » (Detewonòm 29.29). Se pa paske nou pa konnen tout bagay ki fè nou dwe kache revelasyon Bondye yo, nou dwe montre yo epi pratike yo. Men kat rezon ki fè apot Pòl te entèdi fanm yo nan ministè lapawòl. Tout rezon sa yo ekri nan Bib la nan 1 Korent 14.33-34 ; 1 Timote 2.11-14. Fòk nou wè tou ke Pòl pa di ke se konsèy li, menm jan li te di sa nan 1 Korent 7.12 la.
1. Se yon prensip inivèsèl
Gen moun k’ap kòmante ki di ke entèdiksyon sa a te bay pou legliz Korent la menm. Se pa vre. Dabò, men sa ki ekri : « Tankou sa fèt nan tout legliz pèp Bondye a », se pa nan youn oubyen nan legliz ki te Korent yo. Epi, mo grèk « laleo » ki tradwi « pale » a nan lang kreyòl la pat janm gen sans « pale anpil ». Se menm mo sa a ki itilize nan Ebre 1.1 nan vèsyon grèk la (William MacDonald)
2. Se sa lalwa Bondye a vle
Entèdiksyon pou fanm nan ministè lapawòl te egziste avan legliz la te fonde : « Jan nou jwenn sa ekri nan lalwa Bondye a : se pou yo soumèt yo » (1 Korent 14.34). Nou ka pran referans sa yo Jenès 3.16 ; Efezyen 5.22 ; Kolosyen 3.18 ; Tit 2.11-12.
3. Se Adan Bondye te kreye avan
Pou jistifye entèdiksyon li an, Pòl retounen nan lakreyasyon. Se pa paske Bondye jije gason an siperyè pase fanm nan ki fè l di gason an se chèf fanm nan, men se paske se li Bondye te kreye avan. Eske se pa prensip sa a ki detèmine premye timoun nan fanmi an, kit li se gason oubyen fi? Eske premye pitit la siperyè ak dezyèm nan ? Non. Si se fi a ki fèt anvan, èske se pa li k’ap pi gran nan fanmi an ? Wi. Men sa ki rezoud pwoblèm fanm pa dwe pran otorite sou gason an.
4. Se fanm nan ke Satan te twonpe anvan
Nan montre moun kichòy nan asanble a, fanm nan vin mètrès tout manb ki fè pati asanble a. Pòl retounen nan pozisyon fanm nan nan jaden Edenn lan lè koulèv la ta’p pale ak li a. Sediksyon an te lakoz mari li sedwi tou. Daprè kontèks la, Adan pat konnen lè konvèsasyon an tap fèt la. « Li pote bay mari li » montre ke mari li pat kote l la.
Malgre tout rezon sa yo ki bay (sa ki nimewote yo), se pa mwen, men se apot Pòl, anpil lòt kesyon ap poze e anpil sèvant Bondye pa dakò avèk entèdiksyon sa. Eske se pa yon konfizyon pwiske gason yo ak fanm yo, yo tout te resevwa Sentespri a e yo fè yon sèl nan Kris ? (Galat 3.28). Eske Bib la pa kontradiktwa? Eske Bondye fè enjistis ak fanm yo ? Devan tout kesyon sa yo, nou pa dwe ap goumen ant nou menm paske nou youn pa responsab de entèdiksyon sa a.
M’ap fini pou m di ke nou dwe medite sou deklarasyon sa a ke menm apot la fè : « Se poutèt sa, moun ki pa asepte pawòl sa a, se pa pawòl lèzòm li pa koute, se pawòl Bondye ki ban nou Sentespri l la menm li pa koute » (1 Tesalonisyen 4.8).
Se pou w byen medite
Jérôme Dorsonne Emerson
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Pourquoi Paul ne permet pas à la femme d’enseigner ?
Méditation du jour, No 172
Dimanche 17 avril 2016
Pourquoi Paul ne permet pas à la femme d’enseigner ?
La liste des sujets conflictuels est grande, mais citons seulement six: la dîme, le salut éternel, la sainte cène dans une coupe ou dans plusieurs verres, le serment du pasteur devant l’Etat, le remariage et l’interdiction de la femme à l’enseignement. Aujourd’hui, sans vouloir relancer un débat sur la femme dans le ministère, j’aimerais répondre directement à cette question enquiquineuse et controversée.
Pourquoi Paul ne permet pas à la femme d’enseigner ?
La vérité blesse, et elle blesse même celui qui la prêche. C’est normal puisque l’homme n’est pas Dieu, il n’est donc pas parfait. En plus, il ne sait pas tout. Cependant, il doit dire et faire ce qu’il sait. A ce propos, nous lisons ceci dans la Bible: « Les choses cachées sont à l'Éternel, notre Dieu; les choses révélées sont à nous et à nos enfants, à perpétuité afin que nous mettions en pratique toutes les paroles de cette loi. (Deutéronome 29.29).
Notre connaissance partielle de l’Ecriture ne nous autorise pas à cacher les révélations de Dieu mais à les enseigner et à les mettre en pratique. Voici donc quatre raisons pour lesquelles l’apôtre a interdit les femmes dans le ministère de la parole. Elles sont toutes écrites dans la Bible en 1 Corinthiens 14.33-34 ; 1 Timothée 2.11-14. Il faut noter aussi que Paul ne dit pas "c'est moi qui dis" comme c'est le cas dans 1 Corinthiens 7.12.
1. C’est un principe universel
Certains commentateurs disent que cette interdiction a été donnée d’une manière particulière à l’église de Corinthe. C’est faux. D’abord, il est écrit : « Comme dans toutes les églises », pas dans une ou dans les églises de Corinthe. Ensuite, le mot grec « laleo » qui traduit « parler » dans la langue française n’a jamais eu le sens de « bavarder ». C’est le même mot utilisé en Hébreux 1.1 dans la version grecque. (William MacDonald)
2. C’est le vœu de la loi
L’interdiction de la femme dans le ministère de la parole existait avant la fondation de l’église : « mais qu'elles soient soumises, selon que le dit aussi la loi. » (1 Corinthiens 14.34). On peut se référer à Genèse 3.16, Ephésiens 5.22 ; Colossiens 3.18 ; Tite 2.11-12.
3. Adam a été formé le premier
Pour justifier son interdiction, Paul retourne à la création. L’homme est le chef de la femme non parce que Dieu l’a jugé supérieur à elle mais parce qu’il a été créé le premier. N’est-ce pas ce même principe qui détermine le premier enfant d’une famille qu’il soit un garçon ou une fille ? Est-ce que le premier enfant est supérieur au deuxième ? Non. Si c’est une fille qui est née la première, n’est-elle pas également l’aînée de la famille ? Oui. Voilà ce qui règle le problème de la femme qui ne doit pas prendre de l'autorité sur l'homme.
4. La femme a été séduite en premier
En enseignant dans l’assemblée, la femme devient la maîtresse de tous les membres qui composent cette assemblée. Paul se réfère à sa position au jardin d’Eden quand le serpent lui parlait. Sa séduction a entraîné celle de son mari qui, selon le contexte, n’était pas au courant de la conversation. La locution prépositionnelle « auprès de » signifie « dans l’entourage de », mais dans la Bible Louis Segond 21, on remplace cette préposition par « avec elle ».
En dépit de toutes ces raisons données (numérotées) non par moi, mais par l’apôtre Paul, d’autres questions se posent et bon nombre de femmes chrétiennes ne sont toujours pas d’accord avec cette interdiction. S’agit-il d’une confusion puisque les hommes et les femmes ont tous reçu le Saint-Esprit et qu’ils sont unis en Christ ? (Galates 3.28). La Bible est-elle contradictoire ? Est-ce que Dieu est injuste envers les femmes ? Face à toutes ces questions, nous ne devons pas nous quereller entre nous-mêmes car aucun de nous n’est responsable de l’interdiction.
J’en conclus que nous devons méditer sur cette déclaration du même apôtre : « Celui donc qui rejette ces préceptes ne rejette pas un homme, mais Dieu, qui vous a aussi donné son Saint Esprit. » (1 Thessaloniciens 4.8)
Bonne méditation
Jérôme Dorsonne Emerson
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Dimanche 17 avril 2016
Pourquoi Paul ne permet pas à la femme d’enseigner ?
La liste des sujets conflictuels est grande, mais citons seulement six: la dîme, le salut éternel, la sainte cène dans une coupe ou dans plusieurs verres, le serment du pasteur devant l’Etat, le remariage et l’interdiction de la femme à l’enseignement. Aujourd’hui, sans vouloir relancer un débat sur la femme dans le ministère, j’aimerais répondre directement à cette question enquiquineuse et controversée.
Pourquoi Paul ne permet pas à la femme d’enseigner ?
La vérité blesse, et elle blesse même celui qui la prêche. C’est normal puisque l’homme n’est pas Dieu, il n’est donc pas parfait. En plus, il ne sait pas tout. Cependant, il doit dire et faire ce qu’il sait. A ce propos, nous lisons ceci dans la Bible: « Les choses cachées sont à l'Éternel, notre Dieu; les choses révélées sont à nous et à nos enfants, à perpétuité afin que nous mettions en pratique toutes les paroles de cette loi. (Deutéronome 29.29).
Notre connaissance partielle de l’Ecriture ne nous autorise pas à cacher les révélations de Dieu mais à les enseigner et à les mettre en pratique. Voici donc quatre raisons pour lesquelles l’apôtre a interdit les femmes dans le ministère de la parole. Elles sont toutes écrites dans la Bible en 1 Corinthiens 14.33-34 ; 1 Timothée 2.11-14. Il faut noter aussi que Paul ne dit pas "c'est moi qui dis" comme c'est le cas dans 1 Corinthiens 7.12.
1. C’est un principe universel
Certains commentateurs disent que cette interdiction a été donnée d’une manière particulière à l’église de Corinthe. C’est faux. D’abord, il est écrit : « Comme dans toutes les églises », pas dans une ou dans les églises de Corinthe. Ensuite, le mot grec « laleo » qui traduit « parler » dans la langue française n’a jamais eu le sens de « bavarder ». C’est le même mot utilisé en Hébreux 1.1 dans la version grecque. (William MacDonald)
2. C’est le vœu de la loi
L’interdiction de la femme dans le ministère de la parole existait avant la fondation de l’église : « mais qu'elles soient soumises, selon que le dit aussi la loi. » (1 Corinthiens 14.34). On peut se référer à Genèse 3.16, Ephésiens 5.22 ; Colossiens 3.18 ; Tite 2.11-12.
3. Adam a été formé le premier
Pour justifier son interdiction, Paul retourne à la création. L’homme est le chef de la femme non parce que Dieu l’a jugé supérieur à elle mais parce qu’il a été créé le premier. N’est-ce pas ce même principe qui détermine le premier enfant d’une famille qu’il soit un garçon ou une fille ? Est-ce que le premier enfant est supérieur au deuxième ? Non. Si c’est une fille qui est née la première, n’est-elle pas également l’aînée de la famille ? Oui. Voilà ce qui règle le problème de la femme qui ne doit pas prendre de l'autorité sur l'homme.
4. La femme a été séduite en premier
En enseignant dans l’assemblée, la femme devient la maîtresse de tous les membres qui composent cette assemblée. Paul se réfère à sa position au jardin d’Eden quand le serpent lui parlait. Sa séduction a entraîné celle de son mari qui, selon le contexte, n’était pas au courant de la conversation. La locution prépositionnelle « auprès de » signifie « dans l’entourage de », mais dans la Bible Louis Segond 21, on remplace cette préposition par « avec elle ».
En dépit de toutes ces raisons données (numérotées) non par moi, mais par l’apôtre Paul, d’autres questions se posent et bon nombre de femmes chrétiennes ne sont toujours pas d’accord avec cette interdiction. S’agit-il d’une confusion puisque les hommes et les femmes ont tous reçu le Saint-Esprit et qu’ils sont unis en Christ ? (Galates 3.28). La Bible est-elle contradictoire ? Est-ce que Dieu est injuste envers les femmes ? Face à toutes ces questions, nous ne devons pas nous quereller entre nous-mêmes car aucun de nous n’est responsable de l’interdiction.
J’en conclus que nous devons méditer sur cette déclaration du même apôtre : « Celui donc qui rejette ces préceptes ne rejette pas un homme, mais Dieu, qui vous a aussi donné son Saint Esprit. » (1 Thessaloniciens 4.8)
Bonne méditation
Jérôme Dorsonne Emerson
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Au nom de Jésus, votre prière ne sera pas exaucée !
Méditation du jour, No 171
Samedi 16 avril 2016
Au nom de Jésus, votre prière ne sera pas exaucée !
La prière est l’acte de s’adresser à Dieu (Luc 11.1). Tous les prophètes, les sacrificateurs et les apôtres savaient prier Dieu. Et Jésus priait souvent pour lui-même et pour ses disciples (Matthieu 14.23 ; Jean 17). L’apôtre Paul a exhorté les chrétiens de Thessalonique à prier sans cesse (1 Thessaloniciens 5.17). Mais il semble que beaucoup de chrétiens ignorent deux grands principes de la prière, et je cite :
1. Il faut prier au nom de Jésus (Jean 14.23)
2. Il faut prier pour ses ennemis (Matthieu 5.43-45)
En venant sur la terre, Jésus parlait ainsi de sa mission : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. » (Matthieu 5.17) Ce verset est l’objet de discussions et de fausses doctrines basées sur certaines prières de l’Ancien Testament.
Soyons sincères ! S’il faut prier au nom de Jésus, il faut aussi que ce soit dans sa volonté, selon son enseignement sur la prière. Jamais, Jésus n’a enseigné la vengeance. Dans le Notre Père, il a dit : « pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés; » (Matthieu 6.12) Ici, Jésus ne dit pas de souhaiter le mal pour ses ennemis ou ses persécuteurs. D’ailleurs, bien avant cet enseignement, il a dit lui-même ceci :
« Vous avez appris qu'il a été dit: Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis: Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, » (Matthieu 5.43-44)
Le chrétien ne peut donc pas prier Dieu pour la vengeance parce que Dieu exauce la prière qui est faite au nom de son Fils, Jésus, et ce Jésus a demandé à ses disciples de prier pour ses ennemis et pour ceux qui les maltraitent. Cet enseignement est l’accomplissement de la loi, parce que « L'amour ne fait point de mal au prochain: l'amour est donc l'accomplissement de la loi. » (Romains 13.10).
Si vous priez pour que Dieu taille vos ennemis en pièce, votre prière ne sera pas exaucée par Dieu mais par Satan. La Bible dit que nous pouvons nous entretenir par des psaumes (Ephésiens 5.19). S’entretenir, c’est parler ensemble. Mais jamais il n’a été question d’utiliser les psaumes pour souhaiter le malheur pour ses ennemis. Si David l’a fait (Psaumes 139.19-22), Jésus qui est le Seigneur de David a dit de ne plus le faire.
Si c’est le mal qui a envahi votre cœur au point de demander à Dieu de frapper votre ennemi, au nom de Jésus votre prière ne sera pas exaucée. Car quiconque aime Dieu aimera aussi son frère (1 Jean 4.21).
Bonne journée !
Jérôme Dorsonne Emerson
Samedi 16 avril 2016
Au nom de Jésus, votre prière ne sera pas exaucée !
La prière est l’acte de s’adresser à Dieu (Luc 11.1). Tous les prophètes, les sacrificateurs et les apôtres savaient prier Dieu. Et Jésus priait souvent pour lui-même et pour ses disciples (Matthieu 14.23 ; Jean 17). L’apôtre Paul a exhorté les chrétiens de Thessalonique à prier sans cesse (1 Thessaloniciens 5.17). Mais il semble que beaucoup de chrétiens ignorent deux grands principes de la prière, et je cite :
1. Il faut prier au nom de Jésus (Jean 14.23)
2. Il faut prier pour ses ennemis (Matthieu 5.43-45)
En venant sur la terre, Jésus parlait ainsi de sa mission : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. » (Matthieu 5.17) Ce verset est l’objet de discussions et de fausses doctrines basées sur certaines prières de l’Ancien Testament.
Soyons sincères ! S’il faut prier au nom de Jésus, il faut aussi que ce soit dans sa volonté, selon son enseignement sur la prière. Jamais, Jésus n’a enseigné la vengeance. Dans le Notre Père, il a dit : « pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés; » (Matthieu 6.12) Ici, Jésus ne dit pas de souhaiter le mal pour ses ennemis ou ses persécuteurs. D’ailleurs, bien avant cet enseignement, il a dit lui-même ceci :
« Vous avez appris qu'il a été dit: Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis: Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, » (Matthieu 5.43-44)
Le chrétien ne peut donc pas prier Dieu pour la vengeance parce que Dieu exauce la prière qui est faite au nom de son Fils, Jésus, et ce Jésus a demandé à ses disciples de prier pour ses ennemis et pour ceux qui les maltraitent. Cet enseignement est l’accomplissement de la loi, parce que « L'amour ne fait point de mal au prochain: l'amour est donc l'accomplissement de la loi. » (Romains 13.10).
Si vous priez pour que Dieu taille vos ennemis en pièce, votre prière ne sera pas exaucée par Dieu mais par Satan. La Bible dit que nous pouvons nous entretenir par des psaumes (Ephésiens 5.19). S’entretenir, c’est parler ensemble. Mais jamais il n’a été question d’utiliser les psaumes pour souhaiter le malheur pour ses ennemis. Si David l’a fait (Psaumes 139.19-22), Jésus qui est le Seigneur de David a dit de ne plus le faire.
Si c’est le mal qui a envahi votre cœur au point de demander à Dieu de frapper votre ennemi, au nom de Jésus votre prière ne sera pas exaucée. Car quiconque aime Dieu aimera aussi son frère (1 Jean 4.21).
Bonne journée !
Jérôme Dorsonne Emerson
D'où viennent vos souffrance?
Méditation du jour, No 170
Vendredi 15 avril 2016
D'où viennent vos souffrance?
Aucun de nous n'aimerait souffrir, mais nous l'acceptons souvent parce qu'il fait partie de la vie et que parfois, il est le résultat d'un bienfait.
Jésus a dit:"Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux!"(Matthieu 5.10). L'apôtre Pierre va dans le même sens:"il vaut mieux souffrir, si telle est la volonté de Dieu, en faisant le bien qu'en faisant le mal."(1 Pierre 3.17)
Il continue à exhorter les chrétiens par ces mots:"Que nul de vous, en effet, ne souffre comme meurtrier, ou voleur, ou malfaiteur, ou comme s'ingérant dans les affaires d'autrui."(1 Pierre 4.15)
D'autre part dans la Bible, nous apprenons que la souffrance peut être la cause d'un châtiment (Hébreux 12.5-6) ou de la grâce du Seigneur (2 Corinthiens 12.7-9) ou encore de l'intégrité (Job 1.6-12).
Jésus a souffert jusqu'à la mort et même jusqu'à la mort, il n'a jamais abandonné Dieu. Il a tout subi pour vous donner la vie (Esaie 53.3-5).
C'est pour cela que vous devriez continuer à vivre selon sa parole, à prêcher la vérité devant les menaces et à rejeter tout ce qui vous offre un bonheur ou un plaisir passager. L'apôtre Pierre a dit:"Réjouissez-vous, au contraire, de la part que vous avez aux souffrances de Christ, afin que vous soyez aussi dans la joie et dans l'allégresse lorsque sa gloire apparaîtra."(1 Pierre 4.13)
Ce n'est donc pas une honte de souffrir pour le nom de Jésus-Christ (1 Pierre 4.14,16), c'est un privilège, une preuve que l'Esprit de Dieu repose sur vous.1 Pierre 4.16).
Allez maintenant! Analysez la cause de vos souffrances. Si c'est à cause d'un péché, confessez-le mais si c'est pour un bien, demandez à Dieu la force de supporter les douleurs.
Souvenez-vous de cette exhortation:"Ne rendez point mal pour mal, ou injure pour injure; bénissez, au contraire, car c'est à cela que vous avez été appelés, afin d'hériter la bénédiction."(1 Pierre 3.9)
Bonne journée!
Jérôme Dorsonne Emerson
Vendredi 15 avril 2016
D'où viennent vos souffrance?
Aucun de nous n'aimerait souffrir, mais nous l'acceptons souvent parce qu'il fait partie de la vie et que parfois, il est le résultat d'un bienfait.
Jésus a dit:"Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux!"(Matthieu 5.10). L'apôtre Pierre va dans le même sens:"il vaut mieux souffrir, si telle est la volonté de Dieu, en faisant le bien qu'en faisant le mal."(1 Pierre 3.17)
Il continue à exhorter les chrétiens par ces mots:"Que nul de vous, en effet, ne souffre comme meurtrier, ou voleur, ou malfaiteur, ou comme s'ingérant dans les affaires d'autrui."(1 Pierre 4.15)
D'autre part dans la Bible, nous apprenons que la souffrance peut être la cause d'un châtiment (Hébreux 12.5-6) ou de la grâce du Seigneur (2 Corinthiens 12.7-9) ou encore de l'intégrité (Job 1.6-12).
Jésus a souffert jusqu'à la mort et même jusqu'à la mort, il n'a jamais abandonné Dieu. Il a tout subi pour vous donner la vie (Esaie 53.3-5).
C'est pour cela que vous devriez continuer à vivre selon sa parole, à prêcher la vérité devant les menaces et à rejeter tout ce qui vous offre un bonheur ou un plaisir passager. L'apôtre Pierre a dit:"Réjouissez-vous, au contraire, de la part que vous avez aux souffrances de Christ, afin que vous soyez aussi dans la joie et dans l'allégresse lorsque sa gloire apparaîtra."(1 Pierre 4.13)
Ce n'est donc pas une honte de souffrir pour le nom de Jésus-Christ (1 Pierre 4.14,16), c'est un privilège, une preuve que l'Esprit de Dieu repose sur vous.1 Pierre 4.16).
Allez maintenant! Analysez la cause de vos souffrances. Si c'est à cause d'un péché, confessez-le mais si c'est pour un bien, demandez à Dieu la force de supporter les douleurs.
Souvenez-vous de cette exhortation:"Ne rendez point mal pour mal, ou injure pour injure; bénissez, au contraire, car c'est à cela que vous avez été appelés, afin d'hériter la bénédiction."(1 Pierre 3.9)
Bonne journée!
Jérôme Dorsonne Emerson
Etes-vous un chrétien menteur?
Méditation du jour, No 169
Jeudi 14 avril 2016
Etes-vous un chrétien menteur?
"Je crois en Dieu", "Je crois que Dieu existe", "Je suis chrétien ", voilà les trois déclarations les plus populaires face à l'existence de Dieu et la mission de Jésus-Christ. Assurément, vous répondrez par l'une d'elles si quelqu'un vous disait:" Quelle est votre religion?".
Pour bon nombre de personnes, la foi en Dieu est plus théorique que pratique. Il suffit de faire une déclaration pour montrer aux autres leurs croyances. Pourtant, plusieurs passages de l'écriture démontrent le contraire.
1. Si vous m'aimez, gardez mes commandements. (Jean 14.15)
2. Veux-tu savoir, ô homme vain, que la foi sans les oeuvres est inutile? (Jacques 2.20)
3. Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l'écouter, en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements. (Jacques 1.22)
4. Ce ne sont pas, en effet, ceux qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu, mais ce sont ceux qui la mettent en pratique qui seront justifiés. (Romains 2.13)
5. Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent! (Luc 11.28)
Ce n'est donc pas ce que vous dites ni ce que vous pensez qui fait de vous un vrai croyant ou un vrai chrétien. Dieu n'est ni un politicien ni une vedette que l'on peut tromper en faisant semblant d'être fou de lui, car il connaît la pensée de l'homme.
L'apôtre Jean dit:"Celui qui dit: Je l'ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n'est point en lui."(1 Jean 1.4)
Êtes-vous donc un chrétien menteur? A vous de le savoir!
Bonne journée!
Jérôme Dorsonne Emerson
Jeudi 14 avril 2016
Etes-vous un chrétien menteur?
"Je crois en Dieu", "Je crois que Dieu existe", "Je suis chrétien ", voilà les trois déclarations les plus populaires face à l'existence de Dieu et la mission de Jésus-Christ. Assurément, vous répondrez par l'une d'elles si quelqu'un vous disait:" Quelle est votre religion?".
Pour bon nombre de personnes, la foi en Dieu est plus théorique que pratique. Il suffit de faire une déclaration pour montrer aux autres leurs croyances. Pourtant, plusieurs passages de l'écriture démontrent le contraire.
1. Si vous m'aimez, gardez mes commandements. (Jean 14.15)
2. Veux-tu savoir, ô homme vain, que la foi sans les oeuvres est inutile? (Jacques 2.20)
3. Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l'écouter, en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements. (Jacques 1.22)
4. Ce ne sont pas, en effet, ceux qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu, mais ce sont ceux qui la mettent en pratique qui seront justifiés. (Romains 2.13)
5. Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent! (Luc 11.28)
Ce n'est donc pas ce que vous dites ni ce que vous pensez qui fait de vous un vrai croyant ou un vrai chrétien. Dieu n'est ni un politicien ni une vedette que l'on peut tromper en faisant semblant d'être fou de lui, car il connaît la pensée de l'homme.
L'apôtre Jean dit:"Celui qui dit: Je l'ai connu, et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n'est point en lui."(1 Jean 1.4)
Êtes-vous donc un chrétien menteur? A vous de le savoir!
Bonne journée!
Jérôme Dorsonne Emerson
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