Mon comportement sur les réseaux sociaux est-il cohérent avec ma foi chrétienne ?
Les 10 questions à se poser avant de poster ses publications sur Internet.
Il fut un temps, j’étais très éloignée de l’Église. Je ne peux donc que mieux comprendre le ressenti des hommes et des femmes hors de l’Église à la lecture de certains contenus publiés sur Internet.
Bien entendu, on ne peut pas plaire à tout le monde. Sans oublier que la vérité peut parfois être difficile à accepter. Mais exprimer un point de vue difficile et être tout bonnement dénué de charité sont deux choses bien différentes.
Je ne sais pas s’il s’agit là du contrecoup d’un synode particulièrement haut en couleurs, ou de l’étrangeté surnaturelle qui plane toujours en cette période de l’année, mais ces derniers temps, on ne pourra pas dire que les esprits de part et d’autre ne se sont pas déchaînés sur Internet.
J’en ai le cœur brisé quand je pense à certaines personnes qui auraient pu s’intéresser au catholicisme depuis la visite du pape François mais ne franchissent pas le pas car la plupart d’entre nous (moi y-compris) n’ont pas vraiment atteint le même niveau de joie, d’humilité évangélisatrice et de confiance en Dieu dont le pape François a témoigné au quotidien.
N’en déplaise à certains, dans nos conversations en ligne, nos paroles sont entendues de tous. Point de discussions en privé à l’ère d’Internet. Tel que me l’a dit récemment l’une de mes sœurs : « Parfois, j’aimerais que les catholiques apprennent à user de leurs voix ‘intérieures ! ».
Nous sommes à tout moment suivis. Y compris par des personnes qui essaient de trouver le Christ dans notre comportement. Même les athées comprennent que notre attitude est la manifestation visible de Jésus dans l’Église. Malheureusement, lorsque ce n’est pas le cas, nous ne remplissons pas notre rôle pour le salut de l’âme. Tout en restant fidèles à nous-mêmes et à l’Église, nous pouvons agir en connaissance de cause.
Je vous propose de vous poser les 10 questions suivantes avant de poster quoi que ce soit sur le Web, que ce soit un billet sur un blog, un statut sur Facebook, un message sur Twitter ou sur un forum :
Cette publication rapprochera-t-elle les autres de Dieu ?
Cette publication est-elle vraie, charitable, et respectueuse ?
Si quelqu’un en dehors de l’Église catholique la lisait, serait-il(elle) scandalisé(e) ?
Suis-je en train de colporter des rumeurs ou de dire du mal de quelqu’un ?
Me suis-je mis(e) à la place de la personne de laquelle je parle ? Ai-je réfléchi à ses sentiments, sa famille, et les différentes expériences de vie qui l’ont mené(e) à se comporter et penser de la sorte ?
Serais-je tout aussi content(e) de cette publication dans une semaine, un mois ou deux ans ?
Ma réponse est-elle motivée par une volonté de me justifier moi-même, ou par l’amour ?
Cette publication apporte-t-elle de lumière au monde, ou plus de noirceur ?
Est-il nécessaire ou utile que je partage mon opinion sur ce sujet dans ce forum ?
Suis-je inspiré(e) par le Saint Esprit en publiant ce contenu ?
Pas sûre de me sentir très à l’aise quand je pense à certains commentaires que j’ai pu poster sur le web dans le passé !
Notre présence en ligne appelle au discernement. Bien entendu, ces questions très simples ne sont pas la panacée. Mais sans même se les poser, il suffit juste de prendre un moment avant de publier quoi que ce soit sur Internet pour prendre le recul nécessaire, au lieu d’être esclaves de réactions épidermiques, de la peur et de la colère.
SŒUR THERESA ALETHEIA NOBLE
Info Chrétienne
10 Novembre 2015
jeudi 12 novembre 2015
Méditation du jour #15: Le vrai amour n'existe pas.
Le vrai amour n'existe pas
Il est plus facile d'attendre quelque chose que d'agir pour la trouver. La vie, en ce sens, est pour certains un combat, et pour d'autres un hasard.
Il ne faut pas attendre l'arrivée du vrai amour. Il n'existe pas. Non, le vrai amour n'existe pas. Cela peut vous paraître bizarre, mais bientôt, peut-être en lisant ce texte, vous me comprendrez.
Si certains couples ne sont pas des modèles pour encourager les jeunes à s'aventurer dans la vie conjugale, l'amour n'y est pour rien. Deux personnes ont décidé de s'unir pour vivre ensemble parce qu'elles ont cru faire le meilleur choix. Si les choses tournent mal, elles sont responsables. L'amour ne fait aucun mal. Avant tout, c'est un sentiment. Cependant, on peut se tromper de ce sentiment lorsque le choix est basé sur l'apparence ou sur un intérêt.
Un inconnu vous attire par sa beauté, son attitude ou sa reputation. Sans vous informer sur les moindres détails, vous commencez à être passionné jusqu'à tomber amoureux. Cette passion ne vous donne pas la chance d'agir par raison. Parfois, vous croyez que la personne aimée est parfaite. C'est la personne que vous cherchiez depuis longtemps. Vient le moment pour la connaître deux ans après ou dans le foyer, vous réalisez que vous avez fait un mauvais choix. Boum! L'amour est accusé.
Je vous ai dit que le vrai amour n'existe pas parce que d'après ce que je viens de vous expliquer, il n'y avait pas d'amour. Cela pouvait être n'importe quoi sauf l'amour. Le vrai amour se construit. C'est comme une maison. Elle n'existe pas encore mais bientôt j'y serai et ce sera la demeure de ma famille.
Le vrai amour est une histoire, une vraie histoire. Il a son début, ses souffrances, ses lecons et ses expériences. Il se contruit dans la connaissance de l'autre, dans le dialogue, dans la patience. Il vous faut du temps pour le construire mais ne pensez pas qu'il soit comme un produit exposé au supermarché. Le vrai amour n'est pas un repas tout fait trouvé sur la table. C'est de préférence un repas que vous avez pris du temps pour préparer. D'autres personnes peuvent ne pas aimer le goût alors que c'est le plus délicieux.
Vous croyez que le vrai amour n'existe pas parce que vous n'êtes pas prêt à le construire.
En attendant d'être prêt, je vous souhaite une excellente journée dans la grâce du Seigneur. Demeurez bénis!
Jérôme Dorsonne Emerson
Il est plus facile d'attendre quelque chose que d'agir pour la trouver. La vie, en ce sens, est pour certains un combat, et pour d'autres un hasard.
Il ne faut pas attendre l'arrivée du vrai amour. Il n'existe pas. Non, le vrai amour n'existe pas. Cela peut vous paraître bizarre, mais bientôt, peut-être en lisant ce texte, vous me comprendrez.
Si certains couples ne sont pas des modèles pour encourager les jeunes à s'aventurer dans la vie conjugale, l'amour n'y est pour rien. Deux personnes ont décidé de s'unir pour vivre ensemble parce qu'elles ont cru faire le meilleur choix. Si les choses tournent mal, elles sont responsables. L'amour ne fait aucun mal. Avant tout, c'est un sentiment. Cependant, on peut se tromper de ce sentiment lorsque le choix est basé sur l'apparence ou sur un intérêt.
Un inconnu vous attire par sa beauté, son attitude ou sa reputation. Sans vous informer sur les moindres détails, vous commencez à être passionné jusqu'à tomber amoureux. Cette passion ne vous donne pas la chance d'agir par raison. Parfois, vous croyez que la personne aimée est parfaite. C'est la personne que vous cherchiez depuis longtemps. Vient le moment pour la connaître deux ans après ou dans le foyer, vous réalisez que vous avez fait un mauvais choix. Boum! L'amour est accusé.
Je vous ai dit que le vrai amour n'existe pas parce que d'après ce que je viens de vous expliquer, il n'y avait pas d'amour. Cela pouvait être n'importe quoi sauf l'amour. Le vrai amour se construit. C'est comme une maison. Elle n'existe pas encore mais bientôt j'y serai et ce sera la demeure de ma famille.
Le vrai amour est une histoire, une vraie histoire. Il a son début, ses souffrances, ses lecons et ses expériences. Il se contruit dans la connaissance de l'autre, dans le dialogue, dans la patience. Il vous faut du temps pour le construire mais ne pensez pas qu'il soit comme un produit exposé au supermarché. Le vrai amour n'est pas un repas tout fait trouvé sur la table. C'est de préférence un repas que vous avez pris du temps pour préparer. D'autres personnes peuvent ne pas aimer le goût alors que c'est le plus délicieux.
Vous croyez que le vrai amour n'existe pas parce que vous n'êtes pas prêt à le construire.
En attendant d'être prêt, je vous souhaite une excellente journée dans la grâce du Seigneur. Demeurez bénis!
Jérôme Dorsonne Emerson
mercredi 11 novembre 2015
Le fruit au milieu du jardin est le vagin d'Eve!
Beaucoup de ceux qui
ne croient pas en Dieu avancent cette thèse: le fruit qui est au milieu du
jardin est le vagin d’Ève. Ainsi, Adam a péché en ayant choisi d’entrer en
relation sexuelle avec Ève. Fausse interprétation! Voyons maintenant ce qui est écrit. Nous lisons en Genèse 1.28:
Dieu les bénit, et
Dieu leur dit: Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez;...
Remarquez les mots féconds,
multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez. Ils renvoient tous à
l’homme et à la femme. Analysons leur sens brièvement.
o Soyez féconds…
La fécondation
est l’union de deux cellules sexuelles, mâle et femelle. Dieu n’avait
pas donné à l’homme le droit de féconder avec les animaux. C’est pourquoi Il
interdit la bestialité qui est le fait qu’une personne oriente sa sexualité vers
un animal. Voici ce qu’Il a prescrit en Lévitique 18.23 : “Tu n’auras
pas de relations avec une bête, ce qui te rendrait impur; et aucune femme ne
s’offrira à une bête pour s’y accoupler; ce serait de la dépravation”.
o
Multipliez…
La multiplication est le fait d’augmenter une quantité. L’homme
en l’union avec la femme ont pour devoir de s’accoupler pour augmenter le nombre
de personnes qui existe dans le monde. Moi, je suis le cinquième des dix
enfants de ma mère. C’est par la sexualité que je suis venu au monde, toi et
tes parents également. On ne peut donc ignorer le sexe.
o
Remplissez…
Le remplissage est
l’action de remplir, mettre dans un contenant. L’enfant est le contenu, et la
terre le contenant. L’homme et la femme ont pour devoir de remplir la terre
d’enfants qui le feront à leur tour quand ils seront eux aussi matures.
Cela-dit, tous les parents actuels ont été des enfants. Jusque là, il ne s'agit pas de vagin pour fruit au milieu du jardin.
o
L’assujetissez…
Enfin, assujettir c’est
placer sous une domination absolue, soumettre. En Ephésiens 6.1 l’apôtre Paul
demande aux enfants d’obéir à leur parent : « Enfants, obéissez à vos parents, selon le Seigneur, car cela est
juste ».
Tous les rois, les
princes, les prophètes, les guerriers, les présidents, les apôtres, les
pasteurs, les évangélistes, les docteurs, les enseignants d’hier, d’aujourd’hui
et de demain sont nés grâce aux rapports sexuels. Excepté Jésus qui a été conçu
par la vertu du Saint-Esprit.
Dieu a tout prévu
pour l’avenir de ce monde. En aucun cas, il n’est question de vagin ou
de sexe pour interpréter l’arbre au milieu du jardin. La sexualité
est donc une création de Dieu. Cependant Dieu la conditionne en ce que nous appelons le mariage.
Le fruit au milieu du jardin n'est pas le vagin d'Eve!
Jerome Dorsonne Emerson
Méditation du jour #14: L’état et la position du croyant
L'etat et la position du croyant
L’adjectif dérivé de « ciel » est « céleste », celui de « Dieu » est « divin », de « Christ » est « chrétien » et celui de « évangile » est « évangélique ». Vous avez la nationalité du pays où vous êtes né et non celui où vous aimeriez naître. Ainsi, vous êtes haïtien, si vous êtes né en Haïti. Par contre, si vous voulez adopter une autre nationalité, vous allez devoir vous naturaliser. Dès lors, vous ne ferez plus partie de l’Etat haïtien, puisque vous avez la nationalité d’un autre Etat. Vous n’êtes plus sous la loi d’Haïti mais sous celle adoptée par votre nouvelle nation.
Cependant, en dépit de votre nouvelle appartenance, vous n’avez pas changé. Vous êtes toujours vous-même et vous pouvez avoir le même nom. Votre couleur ne change pas ni votre corps. En plus de cela, vous parlez toujours la langue de votre ancien Etat. Rien ne vous empêche, bien sûre, de retourner dans votre pays pour visiter vos parents et vos amis.
Enonçons maintenant le principe de ce que nous venons d’exposer. Votre position détermine votre état (pas l’Etat que nous venons de parler). Une position est un lieu où une chose ou une personne est placée. L’état a plusieurs sens mais considérons le sens selon lequel on parle de « situation physique, morale ou affective d’un être vivant.
Un verset suffira comme exemple : « Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. » (2 Corinthiens 5.17) Etre en Christ, c’est la position du croyant alors que son état est « sa nouvelle créature » qui fait que les choses anciennes ne sont plus. La nouvelle créature que vous êtes peut-être comparée à la naturalisation. En d’autres termes, c’est l’adoption en Jésus-Christ (Romains 8.14-16 ; Galates 4.6).
Cet exemple peut nous aider à comprendre le terme « chrétien ».
Revenons maintenant à ce que nous avons parlé au début. L’adjectif dérivé de Christ est chrétien. Si je suis en Christ, je suis chrétien. Etre à l’église n’est pas « être en Christ» puisque Christ n’habite pas une église. Après sa résurrection, il est monté au ciel et il a promis à ses disciples qu’il serait avec eux tous les jours jusqu’à la fin du monde (Matthieu 28.20b). Christ est partout, il n’a pas une demeure fixe. Il n’habite pas l’église mais il est là. Par conséquent, vous êtes chrétien partout où vous êtes puisque Christ est partout avec vous.
Si vos actes diffèrent de vos paroles ou du moins, de votre position, quelque chose ne marche pas. Autrement, il faut qu’il y ait une correction, comme nous l’avons expliqué hier matin.
Certains chrétiens s’en fichent de leur attitude parmi les non-croyants. Ils vivent comme s’ils étaient encore des incrédules. L’apôtre Paul a écrit: « Conduisez-vous avec sagesse envers ceux du dehors, et rachetez le temps. » (Colossiens 4.5)
Etes-vous chrétien ?
C’est facile de le savoir : votre position doit déterminer votre état.
Que Dieu vous bénisse ce matin par toutes sortes de bénédictions car il peut tout.
Bonne journée.
Jérôme Dorsonne Emerson
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L’adjectif dérivé de « ciel » est « céleste », celui de « Dieu » est « divin », de « Christ » est « chrétien » et celui de « évangile » est « évangélique ». Vous avez la nationalité du pays où vous êtes né et non celui où vous aimeriez naître. Ainsi, vous êtes haïtien, si vous êtes né en Haïti. Par contre, si vous voulez adopter une autre nationalité, vous allez devoir vous naturaliser. Dès lors, vous ne ferez plus partie de l’Etat haïtien, puisque vous avez la nationalité d’un autre Etat. Vous n’êtes plus sous la loi d’Haïti mais sous celle adoptée par votre nouvelle nation.
Cependant, en dépit de votre nouvelle appartenance, vous n’avez pas changé. Vous êtes toujours vous-même et vous pouvez avoir le même nom. Votre couleur ne change pas ni votre corps. En plus de cela, vous parlez toujours la langue de votre ancien Etat. Rien ne vous empêche, bien sûre, de retourner dans votre pays pour visiter vos parents et vos amis.
Enonçons maintenant le principe de ce que nous venons d’exposer. Votre position détermine votre état (pas l’Etat que nous venons de parler). Une position est un lieu où une chose ou une personne est placée. L’état a plusieurs sens mais considérons le sens selon lequel on parle de « situation physique, morale ou affective d’un être vivant.
Un verset suffira comme exemple : « Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. » (2 Corinthiens 5.17) Etre en Christ, c’est la position du croyant alors que son état est « sa nouvelle créature » qui fait que les choses anciennes ne sont plus. La nouvelle créature que vous êtes peut-être comparée à la naturalisation. En d’autres termes, c’est l’adoption en Jésus-Christ (Romains 8.14-16 ; Galates 4.6).
Cet exemple peut nous aider à comprendre le terme « chrétien ».
Revenons maintenant à ce que nous avons parlé au début. L’adjectif dérivé de Christ est chrétien. Si je suis en Christ, je suis chrétien. Etre à l’église n’est pas « être en Christ» puisque Christ n’habite pas une église. Après sa résurrection, il est monté au ciel et il a promis à ses disciples qu’il serait avec eux tous les jours jusqu’à la fin du monde (Matthieu 28.20b). Christ est partout, il n’a pas une demeure fixe. Il n’habite pas l’église mais il est là. Par conséquent, vous êtes chrétien partout où vous êtes puisque Christ est partout avec vous.
Si vos actes diffèrent de vos paroles ou du moins, de votre position, quelque chose ne marche pas. Autrement, il faut qu’il y ait une correction, comme nous l’avons expliqué hier matin.
Certains chrétiens s’en fichent de leur attitude parmi les non-croyants. Ils vivent comme s’ils étaient encore des incrédules. L’apôtre Paul a écrit: « Conduisez-vous avec sagesse envers ceux du dehors, et rachetez le temps. » (Colossiens 4.5)
Etes-vous chrétien ?
C’est facile de le savoir : votre position doit déterminer votre état.
Que Dieu vous bénisse ce matin par toutes sortes de bénédictions car il peut tout.
Bonne journée.
Jérôme Dorsonne Emerson
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mardi 10 novembre 2015
SALI A PESONEL
Si nap kontinye analize eskiz moun ap bay pou yo pa konvèti, nap konprann ke yo kwè se lòt moun ki dwe fè yo sove, alòske se Jezikri ki te vin mouri pou te fè sa. Yo pa di « Aksepte pastè a » men « Aksepte Kris». Lè yon moun ekri w yon lèt, yon mesaje pote l ba ou, si ou fè mesaje sa a malonèt oswa ou pa resevwa lèt la, se pa mesaje a ou fè malonèt, se moun ki ekriw lèt la menm. Konsa, Levanjil la se yon lèt ke Bondye ekri voye ba ou. Premye premye mesaje a ki se Kris te bay li ak moun nan tan pa li a. Pou koulye a, se sèvitè li yo nan lemondantye ki responsab fè travay sa a. Lè ou refize kwè nan Levanjil sou pretèks ke moun k'ap prechew la pa bon, se pa moun sa a ou pa refize vre, men se Jezi ki te voye li a. Koute sa li te di yo : «Ale fè disip pou mwen nan tout nasyon » (Matye 28.19). Plizyè fwa, ou tande Levanjil men nan tout fwa sa yo, toujou gen yon rezon ki anpeche ou.
Sali a pèsonèl, paske se ou sèl ki pou deside fè sa. Menmsi manman ou ta kretyen, papa ou ta jwe gwo wòl nan Legliz, tout frè ak sè ou se kretyen, pi fò zanmi ou se kretyen, sa pa pi enpòtan pase desizyon paw pou w aksepte Kris kòm Sovè pèsonèl ou.
Konsa tou, sali a pèsonèl pa vle di ou ka pran Levanjil la jan'w pito. Pa bliye gen moun ki la pou ba'w li. Si Bondye pa't voye Jezi, pa t'ap gen sali sa a. Oubyen si li te dezobeyi, nou tout tap kondane. Se menm jan an, si premye disip Jezi yo pa't obeyi ak misyon Jezi sa a, Levanjil la pa t'ap vin nan peyi nou, e nou pa t'ap ka jwenn lavi ki pap janm fini an.
Nou chak gen lavi pa nou, kè pa nou, souf pa nou, san pa nou, libète pa nou, konsyans pa nou. Nou chak gen chwa pou'n aksepte oubyen rejte mesaj delivrans nanm nou nan peche gras ak mesaj ke kretyen yo ap preche. Ou ka chwazi delivre oubyen kondane nan peche. Men sa Jezi te di : « Moun ki mete konfyans yo nan Pitit Bondye a p'ap kondane. Men, moun ki pa kwè nan li, yo deja kondane, paske yo pat gen konfyans nan sèl Pitit Bondye a. » (Jan 3.18). Sove depann de ou, pèdi, kondane oubyen peri a depann de ou tou, se pa ni Bondye ni pèsonn ki anpeche ou fè youn oubyen lòt.
Jérôme Dorsonne Emerson
10 rezon pou yon moun konveti
Profesame
Sali a pèsonèl, paske se ou sèl ki pou deside fè sa. Menmsi manman ou ta kretyen, papa ou ta jwe gwo wòl nan Legliz, tout frè ak sè ou se kretyen, pi fò zanmi ou se kretyen, sa pa pi enpòtan pase desizyon paw pou w aksepte Kris kòm Sovè pèsonèl ou.
Konsa tou, sali a pèsonèl pa vle di ou ka pran Levanjil la jan'w pito. Pa bliye gen moun ki la pou ba'w li. Si Bondye pa't voye Jezi, pa t'ap gen sali sa a. Oubyen si li te dezobeyi, nou tout tap kondane. Se menm jan an, si premye disip Jezi yo pa't obeyi ak misyon Jezi sa a, Levanjil la pa t'ap vin nan peyi nou, e nou pa t'ap ka jwenn lavi ki pap janm fini an.
Nou chak gen lavi pa nou, kè pa nou, souf pa nou, san pa nou, libète pa nou, konsyans pa nou. Nou chak gen chwa pou'n aksepte oubyen rejte mesaj delivrans nanm nou nan peche gras ak mesaj ke kretyen yo ap preche. Ou ka chwazi delivre oubyen kondane nan peche. Men sa Jezi te di : « Moun ki mete konfyans yo nan Pitit Bondye a p'ap kondane. Men, moun ki pa kwè nan li, yo deja kondane, paske yo pat gen konfyans nan sèl Pitit Bondye a. » (Jan 3.18). Sove depann de ou, pèdi, kondane oubyen peri a depann de ou tou, se pa ni Bondye ni pèsonn ki anpeche ou fè youn oubyen lòt.
Jérôme Dorsonne Emerson
10 rezon pou yon moun konveti
Profesame
Eskiz ou yo pap valab
Eskiz se yon rezon ke ou bay pouw pa fè oubyen di yon bagay. Konsa, tout moun ki pa vle konvèti gen pou pi piti youn nan rezon ke nou te site nan entwodiksyon an: m pa gen tan, priye pou mwen, m ap gentan, m poko prè, nan sa m ye a m pa ka kretyen, Bondye ap fè m konvèti avan m mouri, m ap konvèti lè m fin lekòl, gen twòp plezi deyò a, moun legliz twò fèzè, yo preche moun reziyasyon nan legliz, pastè yo twò raketè, pa gen legliz nan zòn nan ki bon, m te la men m ap gentan tounen....
Konvèti se desizyon ou pran pouw kwè nan Jezikri lè ou fin tande pale de li nan lari a, nan lekòl la, nan travay la, nan mache a, nan jaden an, nan legliz la, nan machin lan, nan kwazad la, nan plenè a, nan kennenpòt sikonstans la. Depi ou fin tande pale de Levanjil la, ou pa inosan ankò, ou pa inyoran ankò. Angwo, ou pap gen pyès pawòl pouw bay nan jou jijman an pou jistifye rebelyon ou te fè lè ou te tande Levanjil ki tap anonse sa ki gen pou rive moun ki pa kwè nan Jezi yo.
Konvèti pa depann de jan yon kretyen ap viv, byenke jan yon kretyen ap viv ka ede ou konvenk pi fasil. Sa depann de ou menm menm, de volonte ou, konpreyansyon ou, akò ou lè ou fin tande Levanjil la. Tout sa ou genyen kòm rezon ki fèw pa vle konvèti se yon eskiz. Gen moun ki di Bondye ap pran yo lè li vle : eskiz. Lòt di, Bondye wè tout bagay : eskiz. Anfen, gen moun ki temwanye pou di ke Bondye pwoteje yo ak pitit yo depi lontan, malè pa rive yo e gen anpil mirak Bondye fè nan lavi yo : eskiz. Bondye renmen tout moun, li pwoteje tout moun e li rele tout moun vin jwenn li. Li pa gade moun sou figi, li jije tout moun menm jan. Ke Bondye te fè anpil mirak nan lavi ou pa gen anyen pou wè ak konvèsyon ou si malgre tout sa li fè yo, ou pa konvèti jis ou rive mouri.
Sonje sa ! Bondye pa fè anyen pou bay lòm libète fè sa ki mal. Se pa paske ou te chape nan yon danje oubyen nan yon aksidan ki fè si ou mouri demen, ou pap jije. Ou pral jije sou sa ou te fè e non sou sa Bondye te fè pou ou. Dayè, depi lè ou fèt, wap viv, Bondye fè ase pou w ta konvèti. Ti tan ou te pase nan vant manman'w lan sifi pou'w ta chwazi sèvi Bondye, malerezman sa pat posib, paske ou te inosan. Si jodi a, ou gran, ou gen ase nanm pou’w deside konvèti. Moman an rive paske eskiz ou yo pap valab nan jou jijman an.
Jérôme Dorsonne Emersob
Konvèti se desizyon ou pran pouw kwè nan Jezikri lè ou fin tande pale de li nan lari a, nan lekòl la, nan travay la, nan mache a, nan jaden an, nan legliz la, nan machin lan, nan kwazad la, nan plenè a, nan kennenpòt sikonstans la. Depi ou fin tande pale de Levanjil la, ou pa inosan ankò, ou pa inyoran ankò. Angwo, ou pap gen pyès pawòl pouw bay nan jou jijman an pou jistifye rebelyon ou te fè lè ou te tande Levanjil ki tap anonse sa ki gen pou rive moun ki pa kwè nan Jezi yo.
Konvèti pa depann de jan yon kretyen ap viv, byenke jan yon kretyen ap viv ka ede ou konvenk pi fasil. Sa depann de ou menm menm, de volonte ou, konpreyansyon ou, akò ou lè ou fin tande Levanjil la. Tout sa ou genyen kòm rezon ki fèw pa vle konvèti se yon eskiz. Gen moun ki di Bondye ap pran yo lè li vle : eskiz. Lòt di, Bondye wè tout bagay : eskiz. Anfen, gen moun ki temwanye pou di ke Bondye pwoteje yo ak pitit yo depi lontan, malè pa rive yo e gen anpil mirak Bondye fè nan lavi yo : eskiz. Bondye renmen tout moun, li pwoteje tout moun e li rele tout moun vin jwenn li. Li pa gade moun sou figi, li jije tout moun menm jan. Ke Bondye te fè anpil mirak nan lavi ou pa gen anyen pou wè ak konvèsyon ou si malgre tout sa li fè yo, ou pa konvèti jis ou rive mouri.
Sonje sa ! Bondye pa fè anyen pou bay lòm libète fè sa ki mal. Se pa paske ou te chape nan yon danje oubyen nan yon aksidan ki fè si ou mouri demen, ou pap jije. Ou pral jije sou sa ou te fè e non sou sa Bondye te fè pou ou. Dayè, depi lè ou fèt, wap viv, Bondye fè ase pou w ta konvèti. Ti tan ou te pase nan vant manman'w lan sifi pou'w ta chwazi sèvi Bondye, malerezman sa pat posib, paske ou te inosan. Si jodi a, ou gran, ou gen ase nanm pou’w deside konvèti. Moman an rive paske eskiz ou yo pap valab nan jou jijman an.
Jérôme Dorsonne Emersob
9 tandans negatif pou w evite fas ak fònikasyon
Fònikasyon se lè ou antre nan fe
bagay sanw pa marye (1 Korent 6.18). Le ou marye, yo rele sa "adiltè"
(1 Korent 7.2). Se pa tout moun k ap sèvi Bondye ki dakò oswa konprann fònikasyon
se yon peche. Pou sa, yo bay anpil eskiz pou demontre yo ka fè sa pandan y ap
kontinye sèvi Bondye. Mwen ekri atik sa a pou fè w dekouvri kòman ou ka rive
dekouvri yon bann tandans ki pa bon.
Si pou yon kategori moun, fònikasyon
se yon peche grav, pou yon lòt, se yon plezi. Sa pi dwòl toujou, lè se yon
kretyen ki deklare li pa peche oswa li pa yon gwo peche. Anpil eskiz, anpil fo
agiman, anpil pawòl pou sipòte yon pratik Bondye pa renmen. Men kèk
tandans ou dwe evite pou kouri lwen fònikasyon.
1.
Tout moun ap fè l
Se pa paske tout moun ap fè yon bagay
ki fè li bon. Dayè, tout moun pa kretyen, tout moun p ap swiv prensip Bondye
yo. Si yon moun se kretyen pou l toujou ap viv selon sa tout moun ap di, li pa
viv nan lafwa paske lafwa soti nan sa ou tande sou pawòl Kris la (Women
10.17). Ou pa ka patizan Jezi epi se prensip
ki fè Satan kontan w ap swiv. Yon kretyen se yon moun ki kwè nan
ansèyman Jezi yo. Trè souvan, gen moun ki di yo se kretyen, men yo viv daprè
panse pa yo, jijman pa yo, agiman pa yo. Se pa sa Bib la di. Apot Pòl
di : « Kouri pou dezòd lachè. Yon moun te mèt fè tout lòt kalite
peche, sa pa fè kò l anyen. Men, moun ki lage kòl nan dezòd lachè, li fè peche
kont pwòp kò li » (1 Korent 6.18). Kò kretyen an se Tanp
Sentespri a, zafè Bondye te achte ak san Kris (v19-20). Si ou se kretyen tout bon, ou dwe konnen e toujou sonje kò ou
pa fèt pou dezòd lachè. Zafè ki gade moun k ap fònike yo, Bondye va jije yo
paske Bib la di : « Pa twonpe tèt nou. Moun pa ka pase Bondye nan betiz. Sa yon moun simen, se sa li
va rekòlte » (Galat 6.7). Si yon kretyen chwazi fònike, l ap rekòlte sa li te simen. Ou pa ka chita
sou yon mal pou w jistifye yon aksyon.
2.
M ap mande Bondye padon
aprè
Lè Bondye padone ou, Li pa sèlman
efase peche ou yo, men Li bò w yon lòt vi, yon lòt kapasite, Li fè w vin yon
lòt moun (2 Korent 5.17) e ou gen lajwa nan kè w. Anplis, ou vin pè peche sa a.
Mete nan lide ke wap jwenn padon aprè se inyore kòmandman Bondye yo, meprize
santans li tou. Panse w ap jwenn padon pou yon peche apre se deja peche, paske
Sentespri Bondye deja konvenk ou li pa bon. Anplis de sa, pèsiste nan yon peche
se prèv ou poko sove paske moun ki sove a p ap pran plezi l nan pratike peche
(1 Jan 3.9). Yon fwa mennen 2 fwa, 2 mennen 3, 3
mennen yon vis. Kilès ki ta di Batcheba ta lakoz Wa
David tout pwoblèm sa yo? Ou kwè Ananyas ak Safira t ap bay manti si
yo te konnen yo ta pral mouri ? Menm lè Bondye padone ou, sa pa toujou anpeche ou sibi konsekans yo.
Konprann byen ! Padon Bondye se pou evite kondane ou paske chak lè ou
peche, se kòmsi ou rekloure Jezi sou kwa a. Se poutèt sa, lè kretyen an peche,
Bondye pa kondane li paske Jezi te vin mouri pou sa deja (Ebre 9.25-28). Pwovèb
la di : « Evite miyò pase mande padon ». Olye
ou mande padon, pito ou evite danje nan peche w ap fè a. Se vre Bondye toujou
padone, men ou pa konnen si w ap gentan mande padon, sitou si sali ou pot ko
asire. E ou pa janm konnen si peche w ap fè a pa p lakoz ou mouri
sou plas e menm gen konsekans sou lot moun.
3.
Pa gen moun k ap
konnen
David di nan Sòm 139.7 : « Ki
bò mwen ta ale pou m pa jwenn ak ou ? Ki bò mwen ta ale pou ou pa wè m devan je ou ? ». Si se te pastè a, dyak la, paran ou oubyen nenpòt moun nan ki
t ap fè peye konsekans peche, ala moun yo t ap dekouvri nan fè peche paske li
fasil pou w fè yon bagay ankachèt pou lòm pa konnen. Sa fè, menm aprè yon moun fin fè peche, li posib pou l toujou patisipe nan
sèvis Legliz la. Kretyen an konnen Bondye toupatou an
menm tan (omniprezan). Anyen pa ka kache devan je li. Pyès moun pa wè w, men
moun k ap jije w la wè w. Kidonk, lè yon pastè ap konseye w fònike, se yon byen
l ap fè pou ou. Ou dwe remèsye l, onore li, priye
Bondye pou pwoteje li. Malerezman, anpil jèn yo sitou, pa renmen egzòtasyon sou
fònikasyon ak plizyè lòt pratik ki pa gen pa rapò ak lafwa. Yo pran predikatè yo pou enmi, moun k ap siveye zafè yo. Jan
li ekri nan 1 Korent 5.24-25 la, yon jou kanmenm, y ap dekouvri fònikasyon an.
Si ou entèlijan menm jan ak David, ou bezwen konfese peche w pou Bondye padone w.
Si ou pa ta vle echwe demen, si ou ta renmen fè Bondye plezi, ou ta renmen vin
yon modèl pou tout jèn kretyen, li enpòtan e trè presan pou w kite fònikasyon.
4.
Kòm se pa m li ye
Yon kretyen sensè p ap janm fè yon
deklarasyon konsa paske men sa Bib la di: “ Se konnen nou pa konnen kò nou
se tanp Sentespri Bondye te ban nou an ? Nou pa mèt tèt nou ankò. Bondye achte nou kach, Li peye chè pou sa. Se
poutèt sa, sèvi ak kò nou yon jan pou fè lwanj Bondye. » (1 Korent 6.19-20). Nan ka sa a, fònikasyon pa bon paske li
pa ka fè lwanj Bondye. Yon kretyen pa dwe estomake lè yo avèti li de konsekans
peche, lè yo egzòte li pou yon mal li fè oubyen pou jan li konpòte li, paske pa
gen moun ki pa fè peche, men sila ki pa rekonèt peche li p ap jwenn padon (1
Jan 1.8-9). Toujou nan menm Bib la, men sa nou li : “ Se sa k fè, kit n
ap manje, kit n ap bwè, nenpòt kisa n ap fè, fè l pou sa sèvi yon lwanj pou
Bondye” (1 Korent 10.31). Kò w se pa w men ou pa ka fè sa w vle ak li. Lavi ou se pa w : wi, men ou
pa ka deside viv tout tan ou vle. Je w se pa w, men w pa ka anpeche yo fèmen
pou w dòmi. Kò kretyen an se pou Bondye paske li
se kreyati Bondye e pitit Bondye gras ak redanmsyon an. Bib la plis mande nou
pou n pa obeyi ak egzijans kò nou (Galat 5.16) paske moun k ap viv konsa pa ka
fè Bondye plezi (Women 8.8). Se swa ou se
kretyen pou w itilize kò w pou fè lwanj Bondye oubyen ou pa chwazi sa pou
w viv jan w vle.
5.
Pa jije m
Kisa “jije” vle di? Jije, se apresye yon bagay daprè sa ou panse, di yon pawòl
pou pran posizyon w nan yon bagay. Se lè ou aji tankou yon abit pou w pran
desizyon. Diksyonè Ilistre Lang Aysyen an
defini l konsa : « Di si yon bagay bon oubyen move. Di si yon moun
koupab ou inosan ». Diksyonè Kreyòl Karayib la di : « Bay
opinyon, deside ki moun ki gen rezon, ki moun ki gen tò nan yon jijman. Nou
tande souvan moun di : Pa jije m ! E
Èske sa vle di pinga yo di anyen de
li ? Non ! Paske menm Bib ki di pa
jije a (Matye 7.32 ; Lik 6.37) li di kòman nou ka jije (Jan 7.24; 1 Korent
2.15 ; 5.12 ;6.2-4). Men 2 bagay nou dwe konnen an pasan :
1) Nou dwe jije sa ki mal (Efezyen
5.10-13 ; 1 Korent 5.3). Si w ap viv nan peche, yo pa ka
tolere ou ladan, paske men sa Bib la deklare : « Se pou ou fè moun
ki fè peche yo repwòch devan tout moun. Konsa, lòt yo va pè. » (1 Timote 5.20).
2) Nou dwe byen jije (1
Samyèl 16.7, Jan 7.24; Jan 8.15). Menm Jezi ki di pa jije nan Matye 7.1 a, se
Li menm ki di kòman pou jije nan Jan 7.24 : « Pa jije sou
laparans. Jije dapre sa ki dwat ». Apot Pòl pral di tou :
« Zafè moun deyò pa gade m, mwen pa gen dwa jije yo. Se Bondye ki va
jije yo. Men, èske se pa sa devwa nou pou n jije moun ki anndan yo, moun ki
ansanm avè n yo ? Tankou yo di l nan Liv la : Wete mechan an nan
mitan nou. » (1 Korent 5.12-13). Nan 1 Timote 5.24-25, pawòl la
pi klè sou jijman peche : « Gen moun, anvan menm ou jije yo, ou
gentan wè tout peche yo akle konsa. Gen lòt menm, se lontan apre ou wè sa
yo fè ki mal. Konsa tou, tout byen yon moun fè gen pou parèt aklè, menm sa ou
pa wè lapoula. Yo pa ka rete kache.» Konsa, si se pou jije, yon pastè
oubyen yon kretyen ap jije w ale pou vini, depi jijman li an baze sou sa ki
dwat (Detewonòm 1.16). Bib la pa kont yon pastè siveye w
paske men sa li fè konnen: « Veye kò nou! Pa refize koute pawòl moun kap
pale ak nou an. Moun ki te refize koute pawòl moun ki t ap ba yo avètisman
Bondye sou latè a, yo p at chape anba chatiman an. Nou pa bezwen mande si nou menm nou ka delivre si nou vire do
bay moun k ap pale ak nou antan l nan syèl la. » (Ebre 12.25). Se nòmal pou yo
jije w paske se peche w ap fè.
6.
Ou pa fè l
tou ?
Souvan, sa rive moun k ap di pa jije l
la pa manke jije li menm. Lè David te peche a, Bondye te voye
pwofèt Natan repwoche li. David pa t fache ni li pa t nye peche a. Li te kouri
pran sak li pou jene pou mande padon, paske li konsyan li te fè l vre : « Mwen
rekonèt sa m fè a pa bon. Se tout tan peche m
lan devan je m (Sòm 51.3). Lè nou fache kont yon moun paske nou tonbe nan peche, se
rezon nou sanse ap chache. Devan Bondye pa gen gwo ni ti kretyen, depi w peche
ou dwe konfese l. Yon kretyen yo jije paske li tonbe nan peche dwe di Bondye
mèsi paske moun vin di l sa avan Bondye pini li, paske si se Bondye k ap pini
li, pèsonn p ap ka mande sekou pou li. Farizyen yo te konn lalwa fen e byen, men yo pa t fè tout sa yo t ap di. Nan sitiyasyon sa a, men sa Jezi te di disip yo sou sa :
« Se pou nou koute yo, se pou nou fè tou sa yo di nou fè. Men, pa
fè tankou yo. Paske yo menm, yo pa fè sa yo di nou fè.” (Matye 23.3).
An reyalite, Jezi pa ankouraje pastè a fè peche paske sa ka gen konsekans sou
edifikasyon manb asanble a, men lè ou fè yon peche, yo reprann ou pou sa, ou pa
dwe akize yo pou eskize w. Se pa t zanj Bondye te chwazi pou preche Levanjil,
se moun menm jan ak ou : Pyè, Jan, Pòl…..Li posib pou w jwenn
yon defo pou w rejte sa yon moun di w, men pa bliye se Bondye k ap fè fen an. Si ou pa vle moun antre nan zafè ou, ou sanlè pa gen plas ou
nan Levanjil la paske nan Kris la nou fè yon sèl kò, yon sèl fanmi e se yon sèl
Bondye n ap sèvi. Angwo, nou se frè ak sè, manman, papa
ak pitit. Nou se manb yon sèl kò. Jan Pòl di
a : « Si yon manm nan kò a ap soufri, tout lòt yo ap soufri avèl
tou. Si yon manm resevwa lwanj, tout lòt
yo kontan avèk li. » (1 Korent 12.26). Se pou evite ou soufri ki fè yo jije aksyon w. Lè bouch frape, li pa ka anpeche men manyen e siye san an. Yon
fi pa ka sere pati entim li pou je li ak men li. Poukisa ? Paske je li ak
men li nan kò li. Se nòmal, pou yo wè e touche. Kontrèman, kou se yon lòt moun, fi a p ap dakò. Ebyen se sa ki fè, pou de moun antre nan relasyon seksyèl, yo bezwen fè
yon sèl nan maryaj. Pwiske yo se yon sèl, pa gen timidite ankò. Lè sa a, apot la pral di : « Madanm lan pa ka fè
sa l vle ak kò li. Se pou mari a kò madanm lan ye. Konsa tou, yon mari pa ka fè sa l vle ak kò li. Se pou madanm lan kò mari a ye. » (1 Korent 7.4). Pou n fini, moun k ap fònike a epi k ap
kritike ou menm k ap fònike tou, nou youn pa pi bon devan Bondye. Nou se de pechadò, n ap sibi menm pèn. Si ou entèlijan, lè
yon kretyen oubyen nenpòt moun rale zòrèy ou pou sa w ap fè ki mal, se pou w di
l mèsi, paske si se Bondye, li p ap dous pou ou.
7.
Se menaj mwen li ye
Nou sot wè pi wo a kò madanm lan pa
pou li, ni kò mari a tou. Sa fè n konprann si de moun pa marye, youn pa
gen dwa sou kò lòt. Fi a gen tout dwa li pou l refize tonbe
nan peche, menm jan ak gason an tou. Kit nan fiyansay, kit ni maryaj, kò
kretyen an se pou Bondye. Avan li marye, li dwe evite fònikasyon, e lè li fin
marye, li dwe evite adiltè. Kifè, menm si mari a ta di fanm lan pou l
kouche ak yon lòt gason paske l se mèt kò a, sa p ap posib, pwiske sa pral
lakoz adiltè e adiltè se yon enfidelite dabò kont Bondye, answit kont mari a.
Menaj pa vle di madanm ni mari. Menm lè ou
fiyanse, ou pral marye, ou pa gen otorizasyon pou w fònike paske kò nou youn
poko pou lòt, se aprè maryaj la fin ini nou.
8.
Ou pa jenn jan
Si yon moun pa konnen valè li antanke
sevitè, sèvant Bondye, l ap rive fè sa ki mal san li pa rann kont. Se sa ki fè, kretyen an bezwen konnen nan ki kan li kanpe pou
li pa nan jwe marèl nan Levanjil. Prensip Bondye yo pa ka fè moun ki pa
gen krentif pou li obeyi yo. Pa gen moun ki pi saj pase Bondye, pa vre? Ebyen,
kilès ki ka pi byen dirije w aprè Bondye? Pèsonn! Pou sosyete a, lè yon jenn
gason gen plizyè menaj oubyen li fè fònikasyon ak mennaj li, yo rele li jènjan,
poutan nan je Bondye, sa rele imoralite seksyèl! Ou gen chwa pou w viv
antanke jèn jan oubyen moun imoral, men ou dwe konnen tou pa gen pyès moun
imoral k ap antre nan wayòm Bondye a (1 Korent 6.9-10). Lè ou kwè nan Jezi, ou chwazi soti nan fè nwa pou w vin nan
limyè (Jan 3.19-21). Aksyon ou yo dwe rezilta limyè sa a
(Efezyen 5.9). Si atout ou kretyen, w ap viv tankou
monden, li pa t enpòtan pou w te konvèti. Se tèt ou w ap pase nan betiz. Ou pa t konn sa w te fè a. E li ka pi difisil pou w repran
konsyans aprè w te fin konvèti avan. Se rezon sa ki fè anpil moun ki
chite pa ka repran plas yo. Nan yon sans, li ka pi fasil pou w konvenk yon moun
ki pa t janm ko fè fònikasyon pase yon moun k ap fè l. Se sa ki fè, li bon pou w
pa eseye menm yon fwa. Si yon moun di w pa jèn jan paske w pa vle fè
fònikasyon, pran sa pou yon benediksyon paske se nòmal pou yo wè w konsa. Dèfwa,
gen kretyen ki pa santi yo fyè lè yo kite peche. Yo regrèt yo kite rara,
kanaval, plezi, banbòch. Achak fwa yo raple yo de pase yo, yo santi yo ta
retounen ankò. Men koute sa Bib la di: “ Nan tan lontan, nou te nan fè
nwa. Men koulyea, paske n ap viv ansanm nan Senyè a, nou nan limyè. Se sa
ki fè, fòk nou mennen tèt nou tankou moun k ap viv nan limyè a. » (Efezyen
5.8). Si ou fache pou sa yon moun ki nan fè nwa di w – paske
yon kretyen p ap janm di w pa jèn jan – ou pap viv nan limyè. Fè nwa a toujou
enfliyanse w. Malgre tout sa yo t ap di sou Jezi, Li pa t janm sispann fè
volonte Bondye. Yo te akize l, yo te joure l, yo te souflete l jis yo te
rive kloure l. Li pa t janm vire do bay kòmandman Bondye yo. Se konsa pou w
fè tou paske ou se disip Jezi sa a. Tout sa yon moun ka di w de mal pou
obeyisans ou ak Bondye, konsidere sa kòm benediksyon epi kontinye fè l.
9.
Manman Mari
Pou fi kretyèn yo menm, jouman an se
“Manman Mari. Nan menm sans pou gason yo rele « mawozo » paske yo pa
vle fè “fònikasyon”, fi yo dwe fyè lè yo di rele yo “manman Mari”. Malerezman,
kèk nan nou plis swiv pou modèl moun ki pa kwè nan Bondye yo. Poutan kretyen an
dwe gen kwayan yo kòm modèl. Nan 1 Pyè 3.5-7, apòt la mande madan
marye yo pou swiv Sara kòm modèl. Si yon fi kretyèn pa fyè dèske yo rele li «
vyèj mari », l ap fyè lè li pa vyèj. Jozèf te vle kite Mari ankachèt
poutèt li te ansent san li pa t kouche avè l.(Matye 1.18-19) Bondye te chwazi
Mari paske li te vyèj. Eske se yon wont pou yon fanm
pote non manman Jezikri Sovè a, sitou paske li kenbe kò li nan sentete ?
Eske se yon desepsyon pou yon gason pote non
« pastè » paske l ap viv apa pou Bondye ? Non kretyen nou pote a, daprè sa nou aprann, se yon jouman li
te ye pou disip yo nan epòk la (Travay 11.26). Nan 1 Pyè 4.16, apot la di : « Men, si yon moun ap soufri
paske se kretyen li ye, li pa bezwen wont pou sa. Okontrè, se pou li fè lwanj Bondye dèske li pote non Kris
la ». Si y ap pase w nan betiz, fawouchew pou jan wap obeyi Bondye, gade w mal paske ou
vyèj, mwen kwè ke sa ta dwe sèvi yon lwanj pou Bondye, paske se sa ki demontre
vrèman ke ou fidèl (1 Tesalonisyen 4.3).
Pa bliye!
Ou pa p pèdi anyen si w pa fe fònikasyon,
men w ap genyen anpil si w tann lè w pou w antre nan relasyon seksyèl le ou
marye!
Jerome Dorsonne Emerson
Profesame@yahoo.fr
(Pibliye sou tit Èske fonikasyon ka anpeche m sove novembre 10, 2015. Modifye 7 mas 2020)
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