Personne n’accepte de souffrir sinon que pour une bonne cause. Jésus a souffert pour la meilleure et l’incomparable. « Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. » (Esaïe 53.5) Jésus a payé le prix de notre affranchissement avec son sang (Hébreux 9.12). Voici environ 6 causes qui peuvent justifier votre souffrance. Elles vous aideront à adopter une bonne attitude dans votre vie chrétienne.
1. Le péché originel
Nous savons tous l’histoire de nos premiers parents dans le Jardin d’Eden. A cause de leur désobéissance, Dieu a infligé des peines à toute l’humanité ; le labeur, l’enfantement avec douleur, la domination de l’homme sur la femme et la mort étant les principales (Genèse 3.16-19). L’hôpital, la prison, la morgue, le cimetière, le tribunal, le chômage, la famine, les guerres, les séismes sont des signes visibles de la conséquence du péché. Mais, bientôt, aucun d’eux n’existera plus (Apocalypse 21.4).
Nous savons tous l’histoire de nos premiers parents dans le Jardin d’Eden. A cause de leur désobéissance, Dieu a infligé des peines à toute l’humanité ; le labeur, l’enfantement avec douleur, la domination de l’homme sur la femme et la mort étant les principales (Genèse 3.16-19). L’hôpital, la prison, la morgue, le cimetière, le tribunal, le chômage, la famine, les guerres, les séismes sont des signes visibles de la conséquence du péché. Mais, bientôt, aucun d’eux n’existera plus (Apocalypse 21.4).
2. L’omniscience et la fidélité de Dieu
L’apôtre Paul a dit : « Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. » (Rom 8.29) Votre souffrance n’est pas sans cause et son effet ne doit pas ébranler votre foi parce que Dieu est fidèle.
L’apôtre Paul a dit : « Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. » (Rom 8.29) Votre souffrance n’est pas sans cause et son effet ne doit pas ébranler votre foi parce que Dieu est fidèle.
3. Vos péchés
Lorsque vous souffrez, ne vous empressez pas d’accuser le diable ou une personne. Dans la plupart des cas, votre souffrance est la conséquence de vos péchés. L’apôtre a dit : « C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup d'infirmes et de malades, et qu'un grand nombre sont morts. Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. » (1 Co 11.31-32). L’accusation est souvent le début de la vengeance, or il est écrit : «A moi la vengeance, à moi la rétribution, dit le Seigneur. » (Romains 12.19c) La vengeance est un signe du mépris du châtiment de Dieu (Hébreux 12.5).
Lorsque vous souffrez, ne vous empressez pas d’accuser le diable ou une personne. Dans la plupart des cas, votre souffrance est la conséquence de vos péchés. L’apôtre a dit : « C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup d'infirmes et de malades, et qu'un grand nombre sont morts. Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. » (1 Co 11.31-32). L’accusation est souvent le début de la vengeance, or il est écrit : «A moi la vengeance, à moi la rétribution, dit le Seigneur. » (Romains 12.19c) La vengeance est un signe du mépris du châtiment de Dieu (Hébreux 12.5).
4. Le prix de la justice
Dans le sermon sur la montagne, Jésus a déclaré ceci : « Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux! » (Matt 5.10). Ne soyez pas découragé si votre souffrance a une bonne cause. Réjouissez-vous au contraire, car c’est votre part aux souffrances de Christ. (1 Pierre 4.13) En plus, cela prouve que le Saint-Esprit repose sur vous (1 Pierre 4.14). La souffrance est inévitable dans la vie du serviteur pieux (2 Timothée 3.12). Elle n’est pas toujours la conséquence du péché, vous souffrez aussi pour le bien.
Dans le sermon sur la montagne, Jésus a déclaré ceci : « Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux! » (Matt 5.10). Ne soyez pas découragé si votre souffrance a une bonne cause. Réjouissez-vous au contraire, car c’est votre part aux souffrances de Christ. (1 Pierre 4.13) En plus, cela prouve que le Saint-Esprit repose sur vous (1 Pierre 4.14). La souffrance est inévitable dans la vie du serviteur pieux (2 Timothée 3.12). Elle n’est pas toujours la conséquence du péché, vous souffrez aussi pour le bien.
5. Le combat spirituel
La vie chrétienne est un combat spirituel (Ephésiens 6.10-18). C’est pour cette raison que vous devez prendre toutes les armes de Dieu pour combattre. La victoire n’est pas forcément sans dommage. Pour nous sauver, Jésus devait souffrir. Il a été blessé jusqu’à la mort mais il a vaincu la mort. C’est pourquoi même si votre souffrance mène à la mort, vous êtes vainqueur. Jésus l’a dit : « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela? (Jean 11.25-26) Alors c’est un privilège d’être encore vivant dans votre souffrance.
La vie chrétienne est un combat spirituel (Ephésiens 6.10-18). C’est pour cette raison que vous devez prendre toutes les armes de Dieu pour combattre. La victoire n’est pas forcément sans dommage. Pour nous sauver, Jésus devait souffrir. Il a été blessé jusqu’à la mort mais il a vaincu la mort. C’est pourquoi même si votre souffrance mène à la mort, vous êtes vainqueur. Jésus l’a dit : « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela? (Jean 11.25-26) Alors c’est un privilège d’être encore vivant dans votre souffrance.
6. La volonté de DieuNous disons souvent que la volonté de Dieu soit faite. D’ailleurs, Jésus l’a mentionné dans l’apprentissage de la prière : « …que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. » (Matthieu 6.10b) De ce fait, votre souffrance peut être dans la volonté de Dieu. La volonté de Dieu n’est pas votre volonté. Paul n’aurait pas voulu souffrir, mais Dieu l’a voulu (2 Corinthiens 12.9). Dans sa souffrance, Jésus a prié ainsi : « Mon Père, s'il est possible, que cette coupe s'éloigne de moi! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. » (Matthieu 26.39)
Maintenant que vous savez pourquoi vous souffrez, la solution dépend de vous. C'est difficile d'accepter la souffrance, mais si vous avez confiance en Dieu, il vous donnera la force pour y faire face.
Agréable journée dans la grâce du Seigneur.
Jérôme Dorsonne Emerson