dimanche 17 mars 2024

On n’est jamais trop jeune pour servir Dieu

 

1 Samuel 2.22-26

22 Or Héli était fort vieux, et il apprit tout ce que faisaient ses fils à tout Israël, et qu’ils couchaient avec les femmes qui s’assemblaient par troupes à la porte du Tabernacle d’assignation.
23 Et il leur dit : Pourquoi faites-vous ces actions-là ? car j’apprends vos méchantes actions ; ces choses [me viennent] de tout le peuple.
24 Ne faites pas ainsi, mes fils ; car ce que j’entends dire de vous n’est pas bon ; vous faites pécher le peuple de l’Éternel.
25 Si un homme a péché contre un autre homme, le Juge en jugera ; mais si quelqu’un pèche contre l’Éternel, qui est-ce qui priera pour lui ? Mais ils n’obéirent point à la voix de leur père, parce que l’Éternel voulait les faire mourir.
26 Cependant le jeune garçon Samuel croissait et il était agréable à l’Éternel et aux hommes.

La Bible, le guide parfait.

Même si la technologie atteindrait tous les hommes et qu’Haïti deviendrait une grande nation parmi celles qui l’ont colonisée, la Bible, Parole de Dieu, restera la source intarissable de foi, de consolation et de sagesse. On dira durant tous les siècles à venir qu’elle n’est pas crédible, cela ne fera qu’augmenter son efficacité car son auteur principal est Dieu, le Créateur, l’Eternel.

De nos jours, des jeunes se tournent davantage vers les hommes riches, les influenceurs, les grands entrepreneurs, les scientifiques, les personnages publics pour tenter de réaliser leurs rêves et ainsi donner du sens à leur vie. Le résultat, même s’il parait positif au début, finit toujours par décevoir car l’homme, en tant que créature, ne peut pas s’échapper de son destin.

Des excuses et des excuses!

Les excuses pour mépriser le service chrétien dès sa jeunesse ne manquent pas. D’ailleurs, à mesure que le monde évolue, elles augmentent et, conséquemment, éloignent les jeunes de la vocation de l’église. Les activités spirituelles pouvant les aider à grandir dans la foi sont carrément démodées tandis que les nouvelles modes prennent le dessus grâce aux divers choix des réseaux sociaux.

Dans ce texte que nous venons de lire, nous pourrions parler d’histoires, de personnages tels qu’Elcana, Anne, Samuel, Héli et de sacrifices et nous en tirerions tant de leçons. Nous pourrions aussi nous focaliser sur les mauvaises actions des fils d’Héli aux yeux de l’Eternel, mais, une seule chose nous intéresse: l’adverbe « cependant » qui est le fondement même de notre message, à savoir : « On est jamais trop jeune pour servir Dieu ».

Ici, au verset 26, l’adverbe « cependant » indique des faits parallèles qui décrivent la vie d’un jeune garçon. Ce n’est pas un adulte, ni un vieillard. Ce n’est pas non plus un intellectuel, un homme riche, un savant, un artiste, un ange, un robot ou un héros. C’est un jeune garçon. Son nom est Samuel.

En transposant ces faits à notre époque actuelle, le tableau nous présenterait la vie de beaucoup de jeunes qui sont perdus dans le siècle présent pendant que d’autres continuent de rechercher, comme a dit l’apôtre Paul à Timothée « la justice, la foi, la charité, la paix, avec ceux qui invoquent le Seigneur d'un cœur pur. » (2 Timothée 2.22).

Une croissance équilibrée

Le jeune Samuel croissait à tous les niveaux pendant que les fils d’Héli bavardaient. Il savait qu’il devait craindre les choses de son Dieu. Il grandissait dans la crainte en dépit de son environnement qui ne l’encourageait pas. Pourtant, les jeunes veulent maximiser le nombre de followers sur les réseaux sociaux pour mieux se montrer. Pendant ce temps, leur foi stagne.

Regardez dans les medias, le monde grandit mais sa croissance n’empêche pas l’augmentation de la faim, les divisions entre pays, familles et institutions, la corruption, les maladies, les inégalités sociales, bref, l’influence du diable dans les domaines de la vie.

Samuel ne grandissait pas seulement sur le plan physique. Ce n’est pas seulement son physique qui grandissait. Sa vie devenait agréable devant l’Eternel tous les jours. Et pas uniquement devant l’Eternel, pour répéter l’évangéliste Luc au sujet de Jésus (Luc 2.52), mais aussi devant les hommes.

Une croissance au service de Dieu

J’imagine la silhouette de Samuel à cette époque, sa beauté, son intégrité et sa vigueur. Il a tout mis au service de son Créateur. S’il était à notre place, il aurait tout fait pour glorifier Dieu partout où il se trouve. Il influencerait ses camarades, ses collègues, ses amis sur le quartier. Il utiliserait les réseaux sociaux pour évangéliser et parler de son Dieu comme nous l’ordonne l’apôtre Paul (1 Corinthiens 6.20).

Etre agréable à Dieu, c’est lui servir fidèlement selon sa parole. La Bible, dans la version Parole de Vie, traduit le texte du Psaumes 119.9 en ces mots : « Quand on est jeune, comment mener une vie pure ? – En obéissant à ta parole, SEIGNEUR ». Voilà le secret de la vie pieuse que menait Samuel.

La jeunesse n'est pas une excuse 

On nous parle aujourd’hui de Joseph et de tous ses exploits mais il était aussi jeune. Il a été choisi par Dieu, il a résisté face à la tentation jusqu’à son plein succès.

On nous parle de David et de sa victoire sur Goliath, c’était un jeune garçon. Sa jeunesse n’a pas été un critère pour le choix divin.

Salomon, était jeune quand Dieu l’a choisi pour succéder à son père David. Pensons à Daniel, Chadrac, Abed Nego, Mechac, ils étaient tous des jeunes avant de  pouvoir glorifier le nom de leur Dieu.

Alors, êtes-vous ce jeune qui se croit incapable d’être au service de Dieu ? Si oui, le choix de Samuel serait un bon sujet à approfondir pour vous assurer de votre capacité à devenir un jeune serviteur efficace.

Jérôme Dorsonne Emerson

 

 

 

 

samedi 22 août 2020

Les victimes ont besoin de votre soutien


Vous faites peut-être partie de ceux qui pensent que l'église est responsable de la misère des haïtiens. Sur Facebook et sur Twitter, j'ai lu à maintes reprises des commentaires qui exacerbent le conflit entre vodouisme et christianisme. Ces médisances alimentent les stéréotypes du genre "les pasteurs prêchent la résignation à leurs fidèles".

Généralement, la dénonciation et le parti pris n'apportent pas grande chose dans le processus du changement. J'écris, aujourd'hui, pour lancer un appel à tous ceux qui croient que des haïtiens sont victimes de l'évangile de Jésus-Christ: les victimes ont besoin de votre soutien, pas de vos paroles!

La prédication de la résignation est parole, la dénonciation de celle-ci en est pareille. Donc, je pense que le vrai problème est l'inaction. Les pasteurs qui prônent le ciel en décourageant le travail utilisent la parole pour convaincre leurs auditeurs. Les opposants aussi en utilisent pour juger les paroles de ces prédicateurs. Mais, où est le résultat?

Je vais le dire...

Le nombre de victimes augmente ainsi que celui des opposants. In fine, la parole n'aide pas.

Il semble que le projet des opposants ou des vodouisants ne vise pas le changement, mais plutôt l'exclusion. C'est que cette terre de Dessalines n'appartient pas aux chrétiens. Elle a été libérée par le sang du Bois-Caïman pour finir avec un système esclavagiste soutenu par l'église. On dirait que la présence même de l'église en Haïti nourrit le souvenir de l'esclavage. Pourtant, il y a une belle différence entre cette église de l'histoire de la colonie et celle instituée par Jésus-Christ. 

Je pense que les soit-disant victimes de l'évangile-oisif ont besoin d'aide. Ils ont besoin de votre aide. Car ils sont tous des haïtiens, citoyens d'abord, chrétiens ensuite et pour toujours. Les chrétiens doivent respecter le choix de tout haïtien vodouisant ou athée. Il faut cesser les stéréotypes dans les deux camps en signe de respect à la liberté d'expression et de profession de foi garantie par la Constitution en vigueur.

Aujourd'hui, nous souffrons tous de la mauvaise gouvernance. Je ne crois pas que le vrai problème soit le christianisme ou le vodouisme. D'ailleurs, membres de ces deux groupes, nous sommes tous amis ou membres d'une famille dans le gouvernement, de près ou de loin. Qu'avez-vous accompli, chers prêtres du vodou, pour soulager les vodouisants? Qu'avez-vous fait, chers pasteurs, pour soulager les chrétiens? Et vous qui ne croyez en aucune divinité, qu'avez-vous fait mieux? 

Nous avons besoin de penser à nos actions avant de penser aux paroles qui découragent les autres à agir. 

Jérôme Dorsonne Emerson

vendredi 21 août 2020

La révolution intelligente



Comme je l'ai toujours dit, on ne peut pas gagner toutes les batailles de la vie. À chaque fois que j'y pense, je me réfère à la fameuse citation de Nelson Mandela: "Je ne perds jamais, soit je gagne soit j'apprends".

Il y a plusieurs façons de combattre pour avoir ce qu'on veut. Chacune dépend du moment où le changement se revèle important. 

Si au temps de Dessalines (1803), il fallait tuer les français et incendier leurs biens pour libérer Haïti de l'esclavage, Gandhi qui naîtra environ 63 ans après sa mort, soit en 1969, se servira d'une autre arme pour libérer Inde des mains anglaises, le 15 août 1947: la non-violence.

Avec la nouvelle technologie, certaines luttes deviennent plus faciles à gagner ou à faire perdre. Si avant 2010, il fallait trouver un cybercafé pour effectuer un appel international depuis Haïti, WhatsApp, créé en 2009, a changé la donne avec l'option d'appel, sans forcer les cybercafés à fermer leurs portes. Avec le téléphone intelligent, beaucoup d'accessoires deviennent virtuels: la montre, le flash, la calculatrice, le calendrier, le livre dur, l'album de photo, le carnet de notes, le radio, la télé...

Perso, je ne crois pas que le changement que rêvent tous les africains et les haïtiens, en particulier, soit impossible. Ce sont leurs méthodes qui sont surannées. La lutte est importante, il faut finir avec la corruption, l'insécurité et toutes les formes d'injustice sociale. C'est l'objectif, mais les stratégies ne sont pas appropriées à notre époque. Nos actes ne font que prolonger les crises et il faudra autant d'efforts pour, d'abord, faire comprendre la nécessité d'une autre forme de guerre, ensuite, déclencher un processus requérant le temps qu'il faut.

Au demeurant, c'est ce que j'appelle "la révolution intelligente" qui se cache dans cette phrase: "La meilleure façon de lutter contre  l'ancien est de créer le nouveau". Donc, si les choses anciennes demeurent, c'est que les morts sont plus utiles que les vivants, car ils ont créé des choses qui durent malgré leur désuétude.

Les leaders de 2050 sauront si ceux de 2020 ont été intelligents ou pas.

Jérôme Dorsonne Emerson
21 août 2020

samedi 15 août 2020

5 VERITE tout moun ki pa kretyen dwe konnen



Pou tout moun k ap kritike kretyen ak pastè yo, mesaj sa a se pou ou

Mwen pa gen lide pou demanti tout sa k ap di sou kretyen ak pastè yo nan legliz oswa nenpòt kote nan monn lan. M pa avoka yo ni fàn yo.

M pa vin ni defann yo ni ankouraje yo. Si w se youn, ramase pwen w epi repanti.
Okontrè, si yo menm ka li mesaj sa a, li t ap pi bon. Toutfwa, se pou tout moun ki gen pwoblèm ak aksyon kèk kretyen

1. Lòm pa Bondye

Ou konnen sa deja men anpil fwa, ou pale e aji tankou w te bliye l. Si lòm pa Bondye, ou pa ka tann pou lòm viv tankou Bondye byenke Bib la mande l imite Bondye. Depi Adan rive nan tout apòt yo, pa t janm gen yon moun tankou Jezi ki te viv san peche.

Pa rejte Kris akoz peche lòm!

2. Konvèti pa obligatwa

Si tout bon ou kwè pa gen okenn lavi aprè lanmò, se pa yon nouvèl. Se dwa w. Kont yon moun ki kwè l, se pa respekte dwa l. Kidonk, li pa obligatwa pou w vin kretyen.

Evite pèdi tan nan reyaji kont moun ki pa respekte dwa sa a.

3. Eskiz ou yo p ap valab

Ou ka gen yon milyon rezon ki fè w pa konvèti. M pa bezwen site yo: ou wè yo, tande yo e w gen prèv, petèt ak tèks, imaj, odyo ak videyo. Domaj, pa gen okenn tribinal pou w ta rele kretyen sa yo nan jijman, paske Tribinal Kris la ap jije ni ou ni tout fo kretyen. Nan jou jijman an, pa gen anyen w ap ka di pou w jistifye pa t konvèti w. Dayè, ou konnen byen Bondye wè e konnen tout bagay. Kidonk, se t ap yon tan pèdi.

Aksepte Kris pou peche w yo. Pa refize l pou peche lòt moun.

4. Montre w entèlijan

Ou pa inyoran si w ka konprann lè yon moun pa vrè kretyen. Si w pa t gen  konesans, yo t ap fè w fè egare nèt, pa vre? Ou konn li e w etidye. Men ant ou menm ki konn sa ki fo ak sa ki vrè a ki pa fè sa ki vre a ak moun ou jije ki pa diy lan, kilès ki pi entèlijan? Reli tit paragraf sa a lè w fin reponn.

5. Jijman Bondye a pa nan patipri

M ta renmen w pa bay tèt ou pwoblèm pou peche w wè kretyen ak pastè ap fè sou latè zanmi m paske se pa jij ou konnen yo ki pral jije, tande? Se Kris menm ki pral fè sa. E ou konnen byen, jijman li pa nan patipri. Ou ka denonse wi, se byen men w ka sezi wè moun w ap denonse a sove epi w pa sove. 

Sa w wè?

Depi w byen reflechi ak 5 mesaj sa yo, w ap reyalize se yon ti jwèt tou piti k ap jwe nan lespri w ki fè w poko vin kretyen.

Konsèy mwen pou ou

Aksepte KRIS avan LANMÒ pase pran w 
zanmi m.


Jérôme Dorsonne Emerson 

5 mwayen ou ka konnen si sa w tande se verite.

Gen 5 mwayen ou ka konnen si sa w tande se verite.

1. Nan mennen ankèt

Lè w tande yo di, yo fè, pa kouri kwè. Gen anpil teori ak eslogan deyò a pou fè w pran Zannanna pou Sizàn. Moun ki gen tèt li byen plase sou zepòl li pa  kwè fasil.

2. Nan angaje dyalòg

Si rimè a se sou yon moun ou konnen li fèt, pa kouri reyaji. Fè rezèv epi al pale ak li pou w konnen. W ap konnen si se manti ou verite.

3. Lè gen echèk

Gen plan yo fè kont ou, se sèlman lè li echwe w ap konnen. Ou dwe ret pozitif e gen lafwa nan ka sa a.

4. Lè gen siksè

Tout moun pa kwè w ka reyisi nan sa w ap fè a. Men si w pèsevere, siksè w gen pou pale pou ou pandan w ap dòmi e pran plezi w.

5. Nan tripotay

Gen moun ki konn tout sa k ap pase e ki la pou fè tout sa l konnen pase. Si w pa respekte 2 premye mwayen yo (ankèt ak dyalòg), yo gen pou fè w pran Jezi pou Satan e leve w kont vrè zanmi w.

An palan, dosye w te tande a, nan ki mwayen w te konfime l?

Jérôme Dorsonne Emerson 

CINQ FAÇONS DE RÉAGIR FACE À UNE OFFENSE



Une offense est une injure de fait, de parole ou d'écrit. Bien que la Bible nous demande de pardonner nos offenseurs, certaines offenses sont malgré tout irréparables. Que faire alors quand quelqu'un vous offense?

Parmi toutes les réactions possibles, méditons sur 5.

1. Ignorer

Vous n'êtes pas obligé de faire du souci pour tout ce qu'on vous a fait de mal. Ignorer une injure peut vous apporter plus de paix que de la considérer. Toutefois, vous devez en être capable. Sinon, pardonnez.

2. Pardonner

La condition parfaite pour pardonner est la quête de la paix. Peu importe l'ampleur de l'invective, le pardon reste et demeure un remède efficace contre le mal. Toutefois, comme aimer, il faut apprendre à pardonner.

3. Se venger

Voir l'offenseur puni est le premier désir de tout offensé, surtout quand celui-là a prémédité son injure. Vous pouvez venger votre honneur, mais le pardon serait plus précieux.

4. Tirer la leçon

Publius Syrus, poète latin (85-43 av. J-C), a écrit: “Le lendemain s’instruit aux leçons de la veille.” Alors, ne laissez aucune philipique vous fait regretter les leçons qu'il faut tirer des offenses.

5. Agir différemment

Il est plus facile de juger les actions d'autrui que les nôtres. Ce défaut entraine souvent le pire. La meilleure façon de montrer que nous sommes intelligents est d'agir intelligemment. Le contraire n'est que discours. Donc, faites toujours ce qui est louable pour éviter de subir les jugements portés aux autres.

Je vous souhaite une merveilleuse journée!!!😊

Jérôme Dorsonne Emerson 

mercredi 12 août 2020

3 kalite endispansab yon lidè dwe kiltive


Kalite se tout sa ki ka fè moun ap ba w felisitasyon. Egzanp, pasyans ak renmen moun, se de (2) kalite. Epi tou se kalite ki fè nou ka diferansye bon ak move moun yo. Se diferan kalite yo k ap pèmèt nou chwazi bon moun ki pou dirije nou.

Yon lidè pa dwe menm viv e reyaji menm jan ak tout moun. Se yon moun k ap bay egzanp. Nou pral wè twa (3) kalite ki pa dwe neglije lakay yon dirijan konsa.

1. Yon lidè dwe onèt

Onètete se premye kalite pou n siveye kay yon lidè paske se onètete k ap di nou si l ap pran bon dezisyon yo. Yon moun ki onèt se yon moun, nan nenpòt sitiyasyon, menm si sa ap koute l lavi l, ki chwazi sa k ap benefik pou tout moun.  Li se yon lidè ki chwazi jistis sou inegalite e verite sou manti. Depi yon moun onèt ap pale, tout moun ap fè silans pou yo tande l. Alò, si yon lidè pa ka respekte pawòl l ap di, poukisa yon moun ta dwe respekte l?

2. Yon lidè dwe gen imilite

Gen yon sitasyon Gene Brown ki di: « Pwoblèm imilite a se paske w pa ka vante tèt ou pou w di w genyen l ». Imilite a se yon kalite tout moun ap wè nan ou. Se pa ou ki pral di w genyen l. Se youn nan pi bon kalite yon lidè dwe genyen. Sa ap pèmèt li sèvi lòt moun yo avan li sèvi tèt li.

3. Yon lidè dwe byenveyan

Yon moun ki byenveyan se yon moun ki vle byen ak bonè pou lòt moun yo. Se yon kalite endispansab pou yon lidè paske l ap vle pou moun k ap swiv li yo viv pi byen chak jou. L ap pran desizyon ki favorab ak kondisyon lavi yo.

Twa (3) kalite sa yo ap pèmèt yon lidè montre a klè kiyès li ye. L ap toujou vle fè enterè moun l ap dirije yo pase avan enterè pa l. Menmsi wout n ap pran yo konn souvan di pou nou, avèk yon lidè ki onèt, m ap kiltive imilite ak byenveyans, n ap sèten chimen an ap rive nan bout li.

Ou se lidè? Èske w kiltive twa (3) kalite sa yo?

Jefferson Ed Baptiste 

On n’est jamais trop jeune pour servir Dieu

  1 Samuel 2.22-26 22  Or Héli était fort vieux, et il apprit tout ce que faisaient ses fils à tout Israël, et qu’ils couchaient avec les ...