Notre corps se fatigue toute la sainte journée à cause des durs labeurs que la vie nous oblige à faire.
Cette lassitude nous éloigne parfois de l’humanisme et notre conscience s’affaiblit aussi, d’où l’inaptitude de voir les choses comme elles sont réellement. Isocrate eut à dire : « Un esprit solide dans le corps humain, c’est la plus grande force dans la plus grande faiblesse. »
Hélas, le matérialisme nous a vaincus ! Le peu qui reste se trouve dans les livres sacrés, car l’homme, à mesure qu’il s’enfonce dans le modernisme, s’éloigne de toute force pouvant l’aider à aimer comme
Dieu le veut. Le triste résultat est l’enrichissement de l’instinct au détriment de la pensée.
Notre tour s’arrête avec cette parole de Victor Hugo : « L’instinct, c’est l’âme à quatre pattes ; la pensée c’est l’esprit debout. ».
JDE
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