Pour ne pas confondre les miracles et le salut

Méditation du jour, No 220
Samedi 04 juin 2016

Pour ne pas confondre les miracles et le salut

La bible n'est pas contre l'idée selon laquelle une personne puisse trouver ce qu'elle cherche. C'est Jésus qui l'a enseigné:"Demandez, et l'on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira."(Matthieu 7.7) Il dira aussi ceci:"Tout ce que vous demanderez avec foi par la prière, vous le recevrez."(Matthieu 21.22)

Il n'est donc pas étonnant que des gens cherchent des miracles, de l'argent ou des visas. Ils pourront les trouver s'ils ont la foi. Le centurion n'était pas un disciple de Jésus-Christ, mais, grâce à sa foi incomparable en Israël, il a trouvé ce qu'il cherchait.

Les apôtres avaient la mission de prêcher l'Évangile et d'opérer des miracles et Jésus était toujours avec eux (Marc 16.15-20; Matthieu 28.20). Jusqu'à nos jours, les miracles sont encore possibles. Il suffit d'avoir la foi et la persévérance.

Cependant, nous devons faire une grande différence entre le salut et les miracles.

Tu n'es pas sauvé par miracle mais par grâce. Un miracle est un hasard heureux, extraordinaire et inattendu. C'est un phénomène heureux et inexplicable attribué à une intervention divine ou à des forces naturelles. Dans ce cas, ton salut n'est pas un hasard.

L'apôtre Pierre a dit que nous n'avons pas été rachetés par de l'argent ou de l'or, mais par le sang précieux de Jésus-Christ
prédestiné avant la fondation du monde, et manifesté à la fin des temps. (1 Pierre 1.18-20) Dieu a tout planifié et notre salut dépend de notre volonté alors que le miracle dépend de la volonté de Dieu. Là où Dieu ne fera pas un miracle, il sauvera un pécheur qui se repent.

La grâce est le pardon de nos péchés pour trouver le salut de Dieu. La bible indique clairement comment nous pouvons recevoir cette grâce: par la foi. De ce fait, la foi est un moyen de chercher et de trouver.

Tu cherches un miracle? Tu le trouveras. Tu cherches le salut? Tu le trouveras. Mais l'un n'est pas l'autre. Les miracles sont des signes pour confirmer la mission et la puissance des disciples de Jésus-Christ mais ils ne sont pas des preuves du salut.

Les dernières paroles de Jésus sur les inquiétudes nous aideront à mieux comprendre l'intention de ceux qui cherchent le miracle et le salut :" Ne vous inquiétez donc point, et ne dites pas: Que mangerons-nous? que boirons-nous? de quoi serons-nous vêtus? Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus."(Matthieu 6.31-33)

Avant de chercher un miracle, sois certain que tu as déjà trouvé le royaume et la jusitce de Dieu, car aucun miracle ne pourra te sauver du feu de l'enfer.

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Bonne journée!

Jérôme Dorsonne Emerson
Avec Jésus, il y aura toujours une raison valable de continuer à vivre.

L'évangile n'est pas un loisir

Méditation du jour, No 219
Vendredi 03 juin 2016

L'évangile n'est pas un loisir

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Les loisirs sont des distractions auxquelles on consacre ses moments de liberté. N'empêche que certains croyants font de l'évangile un loisir. Voyons si tu n'en fais pas partie.

Tu vas à l'Église quand tu es libre de ton travail. Et comme tu n'as rien à faire le dimanche, tu y vas pour assister au culte, mais tu n'as pas le temps pour participer à l'étude biblique, voire au service d'évangélisation.

L'évangile est une vie. Et c'est la meilleure vie puisque tu es un enfant de Dieu. On n'est pas chrétien à l'Église et mondain au dehors. On n'est pas chrétien chez soi et mondain sur les réseaux sociaux. Non, tu ne peux pas te prétendre chrétien pendant que les choses vaines du monde t'intéressent plus que les choses spirituelles. (1 Jean 2.15-16)

La bible dit:"Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, cherchez les choses d'en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu. Affectionnez-vous aux choses d'en haut, et non à celles qui sont sur la terre. Car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec Christ en Dieu."(Colossiens 3.1-3)

Personne ne t'a forcé à croire en Jésus, mais si tu as été sincère le jour où tu as pris cette décision, tu dois continuer à l'être aujourd'hui et jusqu'à la fin. Ton salut est personnel certes, et tu as une vie personnelle avec Dieu, mais tout le monde pourra confirmer cette vie intime selon les fruits de ton sarment.

Jesus a dit:" Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire."(Jean 15.5) Dans sa lettre aux chrétiens de Galates, l'apôtre Paul déclare:"C'est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude."(5.1)

La servitude est l'état de celui qui est privé de sa liberté. Tu es chrétien, mais tu as peur de vivre comme tel. Tu es une lumière, mais tu as peur de briller. Tu es différent mais tu veux être comme tout le monde.

J'ignore ce que tu aimes faire quand tu es libre. Néanmoins, je sais que rien ne peut séparer le vrai chrétien de l'amour de Christ. Quel que soit le pays où il réside, quel que soit le travail qu'il fait, il est TOUJOURS chrétien.

Sois chrétien en toute circonstance! Bonne méditation.

Jérôme Dorsonne Emerson

Soli Dei Gloria

Six mauvaises attitudes à éviter dans un débat ou dans une étude biblique

Méditation du jour, No 218
Jeudi 02 juin 2016

Six mauvaises attitudes à éviter dans un débat ou dans une étude biblique

Un débat est un examen organisé d'un problème, généralement oral, confrontant des opinions divergentes en vue d'un accord. Une étude biblique est une recherche précise destinée à une meilleure connaissance de la vérité. C'est aussi l'application d'esprit pour apprendre ou approfondir les connaissances bibliques. Pratiquement, il n'y a pas de grande différence entre ces deux mots puisque fort souvent, un débat exige une étude et une étude peut provoquer un débat ou se transformer en débat.

Les six attitudes suivantes sont à éviter lors d'un débat ou d'une étude biblique.

1. Imposer ses opinions

Qu'il s'agit d'un débat ou d'une étude biblique, vos idées ne sont pas infaillibles. Vous êtes un enseignant mais pas le Saint-Esprit. Vous êtes le conducteur du débat mais pas le seul qui connait la vérité. Contentez-vous de dire la vérité sans vouloir contraindre ceux qui vous écoutent à l'approuver. Assurez-vous que votre parole repose sur une démonstration d'Esprit et de puissance (1 Corinthiens 2.4-5). Sinon, votre attitude peut créer des désaccords qui déboucheront sur une impasse.

2. Se mettre en colère en prenant la parole

La colère est une courte folie, dit Horace. Elle excite vos auditeurs et dénote une faiblesse de votre part. Sans vous rendre compte, vous lancerez des propos vulgaires (Ephésiens 4.29). L'homme qui a de la sagesse, dit Salomon, est lent à la colère, et il met sa gloire à oublier les offenses. (Proverbes 19.11) Une parole douce calme la fureur, mais une parole dure excite la colère (Proverbes 15.1). Cependant, vous éviterez aussi d'inciter votre interlocuteur à la colère. Paul a été reprimandé pour avoir insulté le souverain sacrificateur (Actes 23.4-5).

3. Se faire ennemi de celui qui ne partage pas sa croyance

Personne n'est obligé d'avoir la même opinion que vous sur un sujet, quelque soit son importance. Souvenez-vous toujours que vous n'êtes pas le Saint-Esprit. Sachez aussi que votre croyance n'est pas forcément la vérité. Que vous soyez dans le camp "pour" ou "contre", c'est la bible qui a le dernier mot. Par conséquent, votre croyance doit être fondée sur la bible et non sur vos pensées, sur votre théorie ou sur la doctrine de votre église car il n'y a qu'une seule vérité puisqu'il n'y a qu'un seul Dieu et un seul Saint-Esprit (Ephésiens 4.4-6).

4. Condamner ceux qui sont dans l'erreur

D'abord, c'est un peu difficile de savoir qui est vraiment dans l'erreur dans un débat. Ce n'est pas le moment idéal de condamner une personne. Cette attitude peut être une faiblesse, un moyen de minimiser l'opinion de l'autre au profit de la vôtre. Ensuite, Dieu ne vous a pas mandaté pour condamner les hommes. C'est une tâche qui lui revient et il est assez patient pour attendre la repentance d'un incrédule (2 Pierre 3.9). Alors, ne vous mettez pas à la place de Dieu, ce sera un péché. Dites la vérité, rien que la vérité.

5. Persévérer dans ses erreurs

L'erreur est humaine, mais persévérer dans l'erreur est diabolique. Si vous ne pouvez pas reconnaître vos erreurs, vous ne pourrez pas convaincre les autres de votre vérité non plus. En outre, la vérité n'est à personne. La meilleure chose à faire est de remercier celui qui vous l'a révélée. L'Écriture, selon 2 Timothée 3.16, est utile pour corriger. Dans ce cas, si votre interlocuteur corrige votre erreur en se servant de l'Écriture, sans tordre le sens du verset proposé, ayez le courage de l'accepter. Sinon, le débat ou l'étude n'a pas sa raison d'être.

6. Prioriser les doctrines de son église

Actuellement, il est difficile d'identifier une église qui a été fondée selon les normes requises par la bible. Soyons sincères. La majorité est le produit de la division suite à des vives discussions sur un sujet conflictuel. A ce stade, le débat peut se transformer en synode, or il n'est pas question de défendre les croyances strictes d'un groupe ou d'un pasteur mais la vérité universelle. La bible doit être la boussole et le Saint-Esprit la clé de la révélation.

Ces attitudes et bien d'autres ont causé beaucoup d'obstacles à la propagation de la vérité. Efforçons-nous de les éviter afin de faciliter la compréhension et la connaissance. Nous sauverons plus de pécheurs dans l'unité que dans la division.

"Venez assister à ma conférence sur mon nouveau livre LES CAUSES ET LES CONSÉQUENCES DE LA FORNICATION, ce dimanche 05 juin 2016 à l'Église Elim de Saint-Marc, Pivert, à partir de 03:30pm. Le livre sera disponible au prix de 100gdes. Pour info:509 3639-6642"

Bonne journée!

Jérôme Dorsonne Emerson
L'évangile, avant tout!

Cinq raisons d'obéir à la parole de Dieu

Méditation du jour, No 217
Mercredi 01 juin 2016

Cinq raisons d'obéir à la parole de Dieu

Si quelqu'un vous encourage à obéir à la parole de Dieu, sachez qu'il n'est pas votre ennemi. D'ailleurs, comment pouvez-vous être certain de votre salut si vous n'obéissez pas à la parole qui vous a sauvé? Jésus n'a-t-il pas dit :" Si vous m'aimez, gardez mes commandements "(Jean 14.15). S'agit-il donc d'un mauvais jugement si quelqu'un vous dit que vous n'aimez pas Jésus parce que vous ne gardez pas ses commandements? Absolument pas!

Voici cinq bonnes raisons pour lesquelles vous devriez obéir à la parole de Dieu.

1. Une preuve personnelle de votre salut.

Vous savez que vous êtes sauvé quand vous avez le désir de faire la volonté de Dieu constamment. Cela dit, ce désir n'enlève pas la possibilité de pécher, autrement vous seriez infaillible. (1 Jean 1.8-9; 2.1)

2. La certitude que la parole de Dieu est bien gardée dans votre cœur.

On ne serre pas la parole de Dieu dans son cœur pour pécher (Psaume 119.11). Ce serait une perte de temps et un moyen de mieux comprendre les motifs de sa condamnation. Du reste, la bible dit:" Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché "(Jacques 4.17). Soyez un chrétien responsable.

3. Une preuve de votre connaissance

Vous connaissez quand vous avez une notion de quelque chose. La connaissance, c'est aussi le résultat de l'expérience. Et l'expérience est la connaissance des choses acquises par la pratique. Si vous n'obéissez pas à la parole de Dieu, vous êtes un menteur, dit l'apôtre Jean (1 Jean 2.4).

4. Une preuve de votre crainte envers Dieu

Nous répétons souvent cette parole:" La crainte de l'Eternel est le commencement de la sagesse."(Proverbes 1.7) Craindre Dieu, c'est respecter sa parole en la pratiquant et non en étant fier de la connaître. Par là, on saura vraiment le niveau de votre crainte.

5. Une moyen d'influencer ceux que vous évangélisez

Vous ne pouvez pas forcer quelqu'un à croire en Jésus, c'est vrai mais c'est aussi vrai que vous pouvez l'en empêcher. Vous m'encouragez à mettre toute ma confiance en Dieu alors que votre confiance est dans votre argent. Vous dites qu'en devenant chrétien, j'aurai une nouvelle vie alors que vous vivez encore dans l'ancienne. Vous n'êtes pas sérieux du tout!

Je vous exhorte à obéir à la parole de Dieu si vous êtes vraiment un chrétien.

Bonne méditation!

Jérôme Dorsonne Emerson
SOLI DEI GLORIA

La mort, une conséquence du mensonge!

Méditation du jour, No 216
Mardi 31 mai 2016

La mort, une conséquence du mensonge!

Ananias ne pensait pas qu'un mensonge pouvait causer sa mort. Il a donc tenté son coup devant les apôtres pour profiter d'un intérêt qui avait moins de valeur que sa vie (Actes 5.1-11).

L'apôtre Pierre n'était pas présent lors de la vente de sa propriété. Personne n'était venu raconter aux apôtres ce qu'il a fait avec l'argent. Sa femme était là et jamais, elle ne l'aurait dénoncé. Mais Dieu était bel et bien présent comme il l'a toujours été.

Pour Ananias, ce n'était qu'un mensonge à un homme, un serviteur de Dieu qui ne pouvait pas tout savoir. Malheureusement, il s'est grandement trompé dans ses calculs puisque Pierre était animé du Saint-Esprit.

Il existe jusqu'à nos jours des Ananias et des Saphira qui mentent aux serviteurs de Dieu pour faire des œuvres de bienfaisance à l'Eglise ou dans la société. Ils s'imaginent que personne ne découvrira leurs petits secrets et continuent à mentir professionnellement. Un jour, dans cette vie ou dans l'autre, ils rendront compte au saint Juge s'ils ne se repentent pas (Hébreux 4.13).

Le pasteur ne connait pas votre cœur mais souvenez-vous que c'est là que vous avez serré la parole de Dieu (Psaume 119.11). Quand vous commettez un péché, cette parole vous jugera sûrement avant même qu'on vous juge (1 Corinthiens 11.31).

Saphira aurait pu éviter le sort de son mari si elle avait dit la vérité, mais elle a répondu: Oui, c'est à ce prix-là. Son ignorance de ce qui était arrivé a causé sa mort dans l'immédiat.

Dites la vérité parce que vous êtes un enfant de Dieu. Il peut vous protéger si vous êtes honnête mais vous serez en danger si vous mentez sans cesse. Et souvent, le mensonge entraîne la mort.

Bonne méditation!

Jérôme Dorsonne Emerson
L'évangile, avant tout!

Connaissez-vous Jésus-Christ?

Méditation du jour, No 215
Lundi 30 mai 2016

Connaissez-vous Jésus-Christ?

Connaître une personne, c'est être informé de lui. Vous avez des informations sur sa personnalité à partir de vos recherches. Mais cela ne veut pas dire que vous l'avez rencontrée. Par exemple, on peut dire:" C'est un artiste que tout le monde connait".

Connaître une personne, c'est aussi savoir son identité de loin ou de près. Vous pouvez parler de sa personnalité, de ses caractères et de sa vie privée parfois. Au niveau sexuel, connaître une femme ou un homme signifie que vous avez couché ensemble. C'est la première expression utilisée dans la bible pour parler de sexe :"Adam connut Eve, sa femme..."(Genèse 4.1). Matthieu relate que Joseph n'avait pas connu Marie jusqu'à la naissance de Jésus (Matthieu 1.25).

Nous savons tous que le salut offert par Dieu en Jésus-Christ est gratuit (Jean 3.16, Ephésiens 2.8-9), mais cela veut-il dire que nous sommes sauvés dès que nous disons que nous croyons en Jésus? Oui, parce qu'il a dit:" Celui qui écoute ma parole et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle..."(Jean 5.24)

Remarquez la première partie du texte:"Celui qui écoute ma parole". Le fondement de la foi ou de la croyance en Jésus-Christ est sa parole de Jésus-Christ, et non celle d'un prédicateur ou du pasteur. Personne ne peut avoir la foi s'il n'écoute pas la parole de Christ (Romains 10.17). De même, personne ne peut être sauvé s'il ne connait pas Dieu et Jésus-Christ (Jean 17.3). En effet, celui qui connaît Dieu connaîtra Jésus parce que c'est Dieu qui a envoyé Jésus (1 Jean 4.10, Jean 17.18).

La volonté de Dieu est que tout le monde soit sauvé, néanmoins il faut passer par Jésus qui est le médiateur entre lui et les hommes (1 Timothée 2.4-5). Pour cela, vous devez le connaître. Et comment y arriver? En persévérant dans l'enseignement des apôtres (Actes 2.42). Persévérer dans l'enseignement des apotres, c'est aussi demeurer dans la parole de Jésus puisque, de toute évidence, l'enseignement des apôtres est l'enseignement de la parole de Jésus et la parole de Jésus est l'enseignement de la parole de Dieu (Matthieu 28.19-20; Jean 8.42). Force est de constater que de nos jours, la parole de Christ ou l'enseignement des apôtres a perdu son autorité dans beaucoup d'assemblées où l'on enseigne des commandements d'hommes (Matthieu 15.8-9).

Vous pouvez savoir si vous connaissez Jésus en lisant ce verset attentivement :" Celui qui dit: Je l'ai connu, et qui ne garde pas ses commandements est un menteur, et la vérité n'est point en lui. Mais celui qui garde sa parole, l'amour de Dieu est véritablement parfait en lui; par là nous savons que nous sommes en lui. Celui qui dit qu'il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même "(1 Jean 2.4-6).

Bonne journée!

Jérôme Dorsonne Emerson
L'évangile, avant tout!

Des excuses face à la fornication

Méditation du jour, No 214
Dimanche 29 mai 2016

Des excuses face à la fornication

"Tout le monde le fait"

La fréquence des relations sexuelles avant le mariage – les statistiques le prouvent – augmente de plus en plus. L’argument majeur est celui-ci : « Tout le monde le fait » (Samuel et Dorothée).

Avant de devenir chrétien, l’homme était un esclave du péché. Il ne pouvait pas plaire à Dieu. Contrairement, étant affranchi du péché, il devient un esclave de la justice. Il a pour fruit la sainteté et pour fin la vie éternelle (Romains 6.20-22).

L’apôtre Paul exhorte les chrétiens à offrir leurs corps comme un sacrifice vivant, saint et agréable à Dieu (Romains 12.1). Ces exigences font partie de son appel à abandonner les principes du monde pour adopter ceux de Jésus-Christ (Matthieu 28.20a).

Dans le troisième chapitre de sa lettre aux éphésiens, Paul déclare : « Donc, je vous dis et je vous l’ordonne dans le Seigneur : n’imitez pas la conduite des païens, car ils se laissent mener par des ambitions vaines » (Bible des Peuples, Ephésiens 4.17).

Le serviteur de Dieu est une lumière dans le monde et pour le monde (Matthieu 5.14-16), il ne peut être mené par des idéologies ténébreuses en écoutant les discussions folles (2 Timothée 2.23).

L’école de la grâce enseigne le renoncement à l'impiété et aux convoitises mondaines (Tite 2.12). Un chrétien qui est persuadé qu’il peut forniquer parce que tout le monde le fait, il devrait répondre à cette question dont la réponse se trouve en Ephésiens 4.20-24: « Comment avez-vous appris Christ ? ».

Les causes et les conséquences de la fornication, p27

Jérôme Dorsonne Emerson